Accord d'entreprise "Accord collectif sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes" chez HEXCEL COMPOSITES (Siège)

Cet accord signé entre la direction de HEXCEL COMPOSITES et les représentants des salariés le 2018-10-29 est le résultat de la négociation sur la diversité au travail et la non discrimination au travail, les formations, l'égalité professionnelle, les autres dispositifs d'aménagement du temps de travail, l'égalité salariale hommes femmes, diverses dispositions sur l'emploi, la qualité de vie au travail et l'équilibre pro perso.

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et les représentants des salariés

Numero : T00118000676
Date de signature : 2018-10-29
Nature : Accord
Raison sociale : HEXCEL COMPOSITES
Etablissement : 41028670200023 Siège

Vie professionnelle : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur les thèmes suivants

Conditions du dispositif vie professionnelle pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2018-10-29

Accord collectif sur l’égalité professionnelle

entre les femmes et les hommes

Le présent accord est signé entre :

La société Hexcel Composites,

SASU au capital de 15 533 010 euros,

dont le siège social est situé 45 rue de la Plaine 01120 DAGNEUX

Immatriculée au RCS de Bourg-en-Bresse sous le numéro 410 286 702,

Agissant par Monsieur …………, Directeur Général, dûment mandaté à cet effet,

d'une part,

Et,

L’organisation syndicale CFDT, représentative au sein de la société, représentée par Monsieur …………, dûment mandaté à cet effet en qualité de délégué syndical,

d'autre part,

Il a été conclu le présent accord sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

Préambule :

La Direction et les représentants du personnel de l’entreprise, attachés au respect de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, ont sans cesse œuvré dans ce sens afin de garantir l’effectivité de ce principe dans l’entreprise.

A ce titre, les parties signataires profitent du présent accord pour marquer une nouvelle fois leur attachement à ce principe et plus largement au principe général du Code du Travail prohibant toute forme de discrimination.

Le présent accord, qui s’inscrit dans le cadre des dispositions du Code du travail modifiées et précisées en dernier lieu par la loi n°2015-994 du 17 août 2015, le décret n°2016-868 du 29 juin 2016, la loi n°2018-1088 du 8 août 2017, l’ordonnance n°2017-1718 du 20 décembre 2017 ainsi que la loi n°2018-217 du 29 mars 2018,a pour objet de promouvoir l’égalité professionnelle au sein de l’entreprise et de mettre en œuvre les moyens nécessaires à la suppression ou, à défaut, la réduction des inégalités constatées.

Enfin, conscientes de l’impact des représentations socioculturelles sur le monde professionnel, les parties désirent encourager la mixité dans chacun des emplois de l’entreprise.

…/…

Article 1 : Objet

Nonobstant la féminisation de la population active et l’existence de nombreux textes visant à reconnaître les mêmes droits entre les hommes et les femmes, des inégalités significatives persistent en matière de rémunération et d’accès aux postes à responsabilité entre les deux sexes.

Néanmoins, la persistance des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes résulte en grande partie de représentations socio-culturelles, de segmentations structurelles dans les formations et les orientations initiales, et de comportement qui dépassent le cadre du travail. Les parties ont donc souhaité limiter les actions au strict cadre de l’entreprise.

Le présent accord s’intègre à une politique globale de promotion de l’égalité des chances et s’inscrit plus largement dans une démarche de gestion des ressources humaines purement basée sur les compétences et les résultats.

Les parties ont exprimé leur volonté de formaliser une véritable politique en matière d’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, dès l’embauche et aux différentes étapes de la vie professionnelle afin d’agir sur l’ensemble des causes des inégalités de traitement encore constatées.

Par cet accord, les parties signataires se fixent pour objectif de promouvoir l’égalité professionnelle au sein de l’entreprise en :

. Développant la mixité dans l’emploi et le recrutement,

. Garantissant l’équité en matière de politique de rémunération, pour un même niveau de

compétences, de qualification, de responsabilité et de résultat,

. Veillant à l’égalité entre les hommes et les femmes dans les parcours professionnels,

. Favorisant l’articulation entre la vie professionnelle et la vie privée.

et en fixant des objectifs de progression, en déterminant des actions permettant d’atteindre ces objectifs et en y associant des indicateurs chiffrés permettant d’évaluer l’effet des actions mises en œuvre.

Article 2 : Champ d’application

Le présent accord s’applique à l’ensemble des salariés de l’entreprise.

Article 3 : Etude de la situation professionnelle Hommes/Femmes au sein de l’entreprise

Dans le but d’établir un diagnostic préalable de la situation professionnelle des femmes et des hommes, la Direction de l’entreprise et les organisations syndicales se sont appuyées sur les éléments figurant dans le rapport visé dans le Code du travail et la Base de Données Economiques et Sociales prévue par le Code du travail.

Article 4 : Constat

Le diagnostic réalisé au travers des indicateurs précédemment énoncés laisse apparaître certaines situations où existe un déséquilibre entre la situation des femmes et celles des hommes.

Ainsi, il est constaté :

  • Un déséquilibre dans les catégories professionnelles

L’analyse de la répartition entre hommes et femmes par catégories professionnelles montre que, si les hommes représentent les 4/5 des salariés en CDI au 31 août 2018 (79 % exactement) et que les femmes représentent 1/5 de ces salariés (21 % exactement), il y a des variations de représentativité selon les catégories.

Ainsi les Ouvriers sont quasiment exclusivement des hommes, et les hommes sont largement majoritaires dans la catégorie Employés (78 %). Par contre les hommes ne sont représentés qu’à 63 % parmi les Cadres et sur la catégorie TAM les hommes et les femmes sont à égalité parfaite de représentation.

…/…

Il sera donc important que nous cherchions à poursuivre le développement de la mixité des recrutements afin de favoriser à chaque fois le sexe le moins représenté, toujours à compétence équivalente bien entendu.

  • Un léger déséquilibre dans les salaires de certaines catégories professionnelles

L’analyse des rapports entre les salaires de base des hommes et des femmes sur les populations démontre qu’une légère différence persiste au fil des ans.

Si la population des ouvriers ne peut pas être comparée au regard du trop faible nombre de salariés concernés parmi les femmes, il est démontré dans ce tableau que l’écart se creuse sensiblement depuis 3 ans entre la moyenne des TAM hommes et femmes (1.98 point en 2016, 4.42 points en 2017 et 7.46 points en 2018).

Dans le même temps, l’écart Hommes/Femmes sur les Employés ne se réduit pas et reste aux alentours de 7 points. Pour les cadres, si un cadre Homme est sur un rapport de 275 en moyenne, lorsqu’une femme est à 210 environ, l’écart s’explique par la typologie des postes occupés dans cette catégorie.

Les dispositions du présent accord ont pour objectif de supprimer, ou à défaut, réduire, dans la mesure du possible, les différences constatées.

Article 5 : Actions préexistantes

Afin de promouvoir l’égalité professionnelle en son sein, l’entreprise a régulièrement rappelé sa volonté au travers des engagements contractualisés par les valeurs du groupe notamment, mais aussi par des engagements qui mettaient en œuvre les mesures suivantes :

5.1 Mixité des recrutements

A chaque fois que cela sera possible, tous les postes de l’entreprise sont ouverts de façon non sélective aux hommes et aux femmes. Chacun doit pouvoir y postuler, uniquement sur la base de ses compétences et de son expérience. Cette disposition s’applique tant pour les postes administratifs que pour les postes de production, ou ceux de management.

…/…

HEXCEL demande à ses partenaires dans le domaine de l’emploi (y compris les sociétés de travail temporaire), d’appliquer scrupuleusement cette disposition.

5.2 Egalité des rémunérations

La rémunération d’un salarié dépendra toujours de sa qualification, de ses compétences et de sa performance.

HEXCEL veille à ce que l’équité des rémunérations entre les hommes et les femmes soit respectée, en tenant compte également de la composition des populations concernées (en particulier pour que les valeurs retenues soient pertinentes).

Les éléments fournis tous les ans, notamment dans le bilan social, permettent en particulier de constater les résultats de ces dispositions.

Les parties signataires, reconnaissant la pertinence et l’efficacité de ces mesures, conviennent du maintien et de la poursuite de celles-ci, tout en les précisant de façon plus détaillée et sur la base d’indicateurs chiffrés décrits ci-après.

Article 6 : Actions choisies pour la promotion de l’égalité professionnelle

Les parties signataires ont convenu de mettre en place des actions ayant pour objet de promouvoir l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes au sein de l’entreprise.

Des objectifs sont définis. Au titre de ces objectifs, des actions seront mises en œuvre et mesurées au moyen d’indicateurs.

6.1 Embauche : Egalité professionnelle dans la publication d’offres d’emploi 

Les offres d’emploi s’adressent indifféremment aux hommes et aux femmes. Elles sont conçues et rédigées de telle manière que les emplois concernés soient également accessibles et attractifs pour les hommes et les femmes.

Elles sont non discriminatoires, et ne véhiculent aucun stéréotype lié au sexe, à l’âge ou à tout autre critère. Elles présentent objectivement les caractéristiques du poste, les compétences et expériences requises.

Objectifs Actions Indicateurs
Garantir l’égalité professionnelle dans la publication de chaque offre d’emploi quels que soient le poste et la filière concernés (administratif, production et commercial)

Lorsque l’offre concerne un emploi dont l’appellation existe au féminin et au masculin, les deux sont indiqués (par exemple Opérateur/Opératrice)

Lorsque la dénomination de l’emploi est spécifiquement masculine ou féminine, l’emploi est précisément offert aux deux sexes (ex : cariste H/F ou ingénieur H/F) ou exprimé au moyen de mots neutres.

% d’annonces mentionnant l’appellation du poste au masculin et au féminin ou comportant la mention H/F.

Objectif = 100 % des annonces conformes

dès l’application de l’accord.

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6.2 : Embauche : Lutter contre les stéréotypes Femmes / Hommes lors des procédures de recrutement

Les parties signataires s’accordent sur le fait que les stéréotypes existants sur les hommes et les femmes peuvent impacter les processus de recrutement. Afin d’y remédier, il est établi d’une part que progressivement tous les acteurs du recrutement devront être sensibilisés à cet aspect et d’autre part que des communications internes sur le sujet seront mises en place, y compris via les Instances Représentatives du Personnel.

Objectifs Actions Indicateurs
Sensibiliser les acteurs du recrutement de l’entreprise afin d’identifier et de lutter contre les stéréotypes H/F

Organiser au moins une session de formation des acteurs du recrutement par an.

Mettre en place un plan de communication interne sur le sujet (y compris via le site internet), et informer les représentants du personnel sur le plan de communication.

Nombre de formation pour les acteurs du recrutement réalisées par an.

Nombre de communications faites auprès des IRP.

Nombre de communications faites sur le site internet de l’entreprise ou par voie d’affichage.

Article 6.3 : Articulation Vie Professionnelle / Vie Privée : Permettre aux personnes d’articuler leur activité avec les contraintes liées à la charge d’un enfant

Les parties signataires sont conscientes que, dans la Société actuelle, ce sont bien souvent les femmes qui ont la responsabilité de gérer la charge de l’enfant en ce qui concerne les contraintes liées aux horaires de la scolarité.

En conséquence, l’entreprise prend l’engagement d’adapter son fonctionnement en supprimant dans les 3 ans à venir, les réunions de services débutant tôt le matin ou tard le soir.

Objectifs Actions Indicateurs
Permettre aux salariés d’articuler leur activité avec les contraintes liées à la charge d’un enfant Supprimer totalement d’ici 3 ans les réunions de services débutant avant 9 heures et après 17 heures, sauf cas de force majeure ou caractère d’urgence ayant pour enjeux la sécurité des biens et/ou des personnes.

Nombre de réunions de services ayant débuté avant 9 heures et après 17 heures.

(à l’exception bien entendu des salariés travaillant en horaires d’équipes postées)

Objectif : 0

Article 6.4 : Articulation Vie Professionnelle / Vie Privée : Favoriser le congé paternité

Afin de favoriser la prise du congé paternité pour les pères à la naissance de leur enfant, l’entreprise prend l’engagement d’assurer le maintien de la rémunération du salarié concerné dans les mêmes conditions de revenus que les femmes en congé maternité. La durée du congé paternité, son délai de prévenance et ses modalités de prises sont par ailleurs définies par la loi.

…/…

Objectifs Actions Indicateurs
Favoriser la prise du congé de paternité pour les pères Garantir aux pères concernés un revenu calculé sur les mêmes bases que celles du congés maternité. Nombre de salariés ayant pris un congé paternité / Nombre de salariés éligibles à notre connaissance

Article 6.5 : Articulation Vie Professionnelle / Vie Privée : Prise en compte des conséquences des changements d’organisation sur la vie familiale

Afin de prendre en compte les conséquences que peuvent avoir les modifications d’horaires sur l’organisation personnelle de ses salariés, l’entreprise s’engage à informer les salariés concernés avec un délai préavis d’un mois, lorsque le changement concerne le passage pour une durée prévue supérieure ou égale à un mois, d’un horaire de week-end à un horaire de semaine ou vice-versa.

Objectifs Actions Indicateurs
Faciliter l’articulation vie privée / vie professionnelles pour les changements d’équipe concernant le travail du week-end Garantir aux salariés concernés le respect du délai de préavis d’un mois afin de leur permettre de prendre leurs dispositions en terme d’organisation personnelle. Nombre de changements d’horaires pour un passage de week-end à semaine ou vice versa, pour une durée prévisionnelle supérieur ou égale à un mois, avec un délai de prévenance inférieur à 1 mois. Objectif : O

Article 6.6 : Formation et Promotion Professionnelle : Faciliter l’accès aux formations diplômantes ou certifiantes aux femmes

L’entreprise est investie depuis plusieurs années dans une démarche certifiante CQPI afin de favoriser l’intégration de nouveaux embauchés et de valoriser la montée en compétences de nos salariés.

Pour autant, si nous préparons des CQPI Agent Logistique et Conduite d’Equipement Industriel, nous n’avons pas eu, à ce jour, de femmes ayant suivi ce parcours, à l’exception des CQPI intérimaires.

Si une partie de l’origine de la situation réside dans le fait que nous n’ayons que peu de femmes sur les postes d’opérateur, nous allons toutefois communiquer sur la démarche et nous prenons l’engagement d’avoir formé 2 de nos salariées à des CQPI ou autres formations certifiantes ou diplômantes dans les 3 années à venir.

Objectifs Actions Indicateurs
Favoriser l’ouverture des cursus certifiants ou diplômants aux femmes

Communiquer en interne afin de promouvoir les cursus diplômants ou certifiants auprès de nos salariées concernées.

Former 2 salariées dans ce cadre dans le délai de 3 ans.

Nombre de salariées ayant suivi un cursus certifiant ou diplômant à l’issue des 3 ans de validité du présent accord.

…/…

Article 6.7 : Formation et Promotion Professionnelle : Entretien de retour à l’emploi

Afin de favoriser le retour à l’emploi dans les meilleures conditions pour un salarié revenant d’une absence de 12 mois ou plus dans le cadre de la prise d’un congé parental, outre son entretien professionnel, le salarié aura un entretien de retour à l’emploi avec son responsable hiérarchique, dans les deux premières semaines de son retour, afin de faire le point sur les changements éventuels survenus dans l’organisation ou les méthodes de travail, ainsi que sur ses éventuels besoins en formation liés à un changement éventuel de technologie.

Objectifs Actions Indicateurs
Favoriser le retour à l’emploi après un congé parental d’éducation de 12 mois ou plus. Mettre en place un entretien de retour à l’emploi pour chaque salarié revenant d’une absence de 12 mois ou plus dans le cadre de la prise d’un congé parental.

Nombre d’entretiens réalisés suite au retour de congé parental d’un salarié par rapport au nombre de reprises de poste après 12 mois d’absence suite à congé parental.

Objectif 100 %

Article 6.8 : Garantir l’égalité de rémunération et réduire les écarts existants entre les femmes et les hommes

La société Hexcel Composites garantit un salaire équivalent entre les hommes et les femmes à l’embauche pour un même niveau de responsabilité, de formation, de qualification, d’expérience et de compétences mises en œuvre.

En outre, nous veillons à ce qu’aucun écart ne se crée avec le temps et nous allons travailler à réduire les écarts de rémunération constatés entre les hommes et les femmes lors de l’audit préalable. Dans ce cadre, les parties signataires s’accordent sur les mesures suivantes.

Objectifs Actions Indicateurs
Garantir l’égalité de rémunération et réduire sur 3 années les écarts éventuels de rémunération moyenne entre les femmes et les hommes.

. Embaucher les salariés sur une base de salaire identique à compétences, qualifications et expériences équivalentes

. Mener chaque année une étude comparative sur l’entreprise pour analyser les écarts de rémunérations entre les hommes et les femmes, ainsi que la répartition des augmentations individuelles

. S’engager à analyser tout écart de rémunération paraissant non justifié et à prendre, le cas échéant, les mesures correctives nécessaires.

. Salaires à l’embauche par poste et par sexe à compétences, qualification et expériences équivalentes.

. Nombre d’études comparatives menées.

. Nombre d’écarts identifiés et nombre d’analyses et d’actions correctives menées.

…/…

Article 7 : Suivi de l’accord

Une commission de suivi de l’accord est spécialement créée. Elle est constituée par :

  • Le Directeur Général,

  • Un représentant de la Direction des Ressources Humaines,

  • Le Délégué Syndical CFDT.

La commission a pour mission :

  • le suivi du calendrier de mise en place des actions définies par l’accord,

  • l’étude de l’effet des actions,

  • le suivi des objectifs et indicateurs,

  • la proposition d’éventuelles améliorations ou adaptations.

La commission se réunira tous les ans, et en tout état de cause au plus tard avant la fin février, afin d’exercer les missions qui lui sont confiées au titre du présent accord. Pour la première fois, cette réunion aura lieu au plus tard avant la fin février 2020.

Article 9 : Durée de l'accord

Le présent accord est conclu pour une période de 3 ans, à compter du 1er janvier 2019.

Article 10 : Révision et dénonciation de l’accord

A la demande de l’organisation syndicale signataire, il pourra être convenu d’ouvrir une négociation de révision du présent accord dans les conditions prévues par les dispositions des articles L. 2261-7-1 et L. 2261-8 du Code du Travail.

Cette négociation de révision sera systématiquement ouverte si la demande en est faite par la Direction.

Le présent accord pourra à tout moment être dénoncé dans le respect des dispositions prévues aux articles L. 2261-9 et suivants du Code du Travail. Le préavis de dénonciation est fixé à 3 mois.

Article 11 : Publicité

Le présent accord donnera lieu à dépôt dans les conditions prévues par le Code du travail, sur la plateforme de télé-procédure du ministère du travail www.teleaccords.travail-emploi.gouv.fr.

En outre, un exemplaire sera établi pour chaque partie, et cet accord sera porté à la connaissance des salariés par voie d’affichage ou par tout autre moyen approprié.

Fait à Dagneux, en 5 exemplaires originaux, le 29 octobre 2018

Pour l'Entreprise : Pour le syndicat CFDT :

Monsieur ………… Monsieur …………

Directeur Général Délégué Syndical CFDT

Monsieur …………

Directeur Ressources Humaines

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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