Accord d'entreprise "PROCES VERBAL D'ACCORD PARTIEL - THEMES NEGOCIES TOUS LES ANS" chez SAGADIS (Siège)

Cet accord signé entre la direction de SAGADIS et le syndicat CGT et CFDT le 2018-05-31 est le résultat de la négociation sur l'évolution des primes, le jour de solidarité, l'aménagement du temps travail, la modulation du temps de travail ou l'annualisation du temps de travail, l'égalité salariale hommes femmes, les augmentations de salaire (ou diminuton / gel des salaires).

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CGT et CFDT

Numero : T04218000646
Date de signature : 2018-05-31
Nature : Accord
Raison sociale : ANDREZIEUX DISTRIBUTION
Etablissement : 52335400900012 Siège

Salaire : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur les thèmes suivants

Conditions du dispositif salaire pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2018-05-31

ENTRE

  • La Société SAS ANDREZIEUX DISTRIBUTION dont le siège est situé Zac de Migalon BP 20 130 à ANDREZIEUX-BOUTHEON (42163), représentée par Madame xxxxxxxxx, agissant en qualité de Président,

D’une part,

ET

  • Les délégations suivantes :

    • L’organisation syndicale C.F.D.T., représentée par son délégué syndical, Monsieur xxxxxxxxxx,

    • L’organisation syndicale C.G.T., représentée par son délégué syndical, Madame xxxxxxxxxx,

D’autre part.

PROCES-VERBAL D’ACCORD PARTIEL

PREAMBULE

Il est établi, à la suite de la réunion préparatoire en date du 09 mars 2018 et des deux réunions de négociation qui se sont déroulées pour l'année 2018 en date des 23 mars 2018 et 27 avril 2018, le présent Procès-verbal d’accord partiel, les différentes parties ne s’étant mises d’accord que sur une partie des sujets à l’ordre du jour.

Il est rappelé qu’en vertu des dispositions de l’article L2242-10-s du Code du Travail, les parties ont préalablement conclu un accord d’adaptation des NAO afin d’adapter la périodicité des négociations aux spécificités de l’entreprise.

ARTICLE 1 – Dernier état des propositions respectives des parties

A – La Direction : Les propositions de la Direction ont été les suivantes :

Thèmes abordés : Rémunération, notamment les salaires effectifs, le temps de travail, écart de rémunération, qualité de vie au travail

  1. Rémunération, salaires effectifs

Proposition de la Direction de continuer d’appliquer une évolution des salaires supérieure à la grille de la Convention Collective Nationale (Commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire – IDCC 2216).

L’entreprise applique la classification prévue par la CCN dont nous dépendons. La direction vérifie les niveaux de chaque salarié et les modifie s’il y a lieu.

Chaque fonction correspond à un niveau (de 1 à 9) et un échelon (A débutant et B confirmé). La Direction va au-delà de la Convention Collective et pratique depuis plusieurs années un avantage certain et systématique, à savoir :

  • Niveau 3 : la CCN prévoit un passage du niveau 3A au niveau 3B après 12 mois dans la fonction. L’entreprise procède à ce passage après seulement 6 mois.

  • Niveau 4 : la CCN prévoit un passage du niveau 4A au niveau 4B après 24 mois dans la fonction. L’entreprise procède à ce passage après seulement 12 mois.

La Direction rappelle également que si un salarié obtient une qualification et un diplôme relatif à sa fonction, ce salarié sera positionné en qualification de niveau 3 (sur présentation du diplôme).

Les heures de DIF et à présent le compteur CPF donnent la possibilité aux salariés de se qualifier et d’obtenir un diplôme.

La direction propose une nouvelle modalité pour le calcul de la prime de présence qui ne remplit pas son objectif. Elle propose de retenir :

  1. Salariés bénéficiaires : statut « employés »

  2. Conditions de présence :

    1. Le salarié doit avoir été présent sur toute la période de référence, du 1er juin au 31 mai de l’année suivante

    2. Il doit en outre être présent à la date de son versement.

  3. Montant de la prime : xxx euros bruts.

  4. Le montant de la prime de présence est versé sur le bulletin de paie du mois de juin de chaque année.

  5. Pour les employés à temps partiel, la prime est proratisée à la durée prévue au contrat de travail.

  6. Face au constat que seul un très faible pourcentage de salariés au regard de l’effectif global a touché dans son intégralité la prime de présence sur le précédant exercice, la direction propose que cette la prime soit nulle dès la première absence, quelle que soit sa durée. Tous les cas d’absence sont pris en compte, hormis les absences légalement assimilées à un temps de travail effectif (congés RTT, congés payés, congés de formation économique ou syndicale).

Cette proposition est faite dans un but de lutte contre l’absentéisme.

  1. La durée effective et l’organisation du temps de travail, dont journée de solidarité

Les congés payés :

La Direction propose de poursuivre l’organisation en place pour la communication du calendrier des départs en congés payés, à savoir le 1er février pour la période d’été et le 1er octobre pour la période d’hiver.

La Direction rappelle que la prise des congés payés est établie de la manière suivante :

  • Période d’acquisition des droits à congés : du 01/06 de l’année n au 31/05 de l’année n+1

  • Période de prise des droits à congés : du 01/05 de l’année n au 30/04 de l’année n+1

  • Procédure congés payés en vigueur dans l’entreprise : information et consultation du CE et distribution d’un formulaire de recueil de souhaits avec les fiches de paie pour la prise des congés payés d’été et la prise des congés payés d’hiver

  • Renonciation aux jours de congés payés pour fractionnement si demande par le salarié de prise de congés en dehors de la période d’été du 01/05 au 31/10, pour l’une des 4 semaines du congé principal.

La Direction informe que cette procédure en place sera poursuivie sans changement.

La journée de solidarité :

Pour 2018, il avait été convenu que la journée de solidarité se déroule sur deux journées : le mardi 08 mai 2018 et le mardi 10 mai 2018.

Pour l’année 2019, la direction propose qu’une réunion soit organisée avec les Délégués syndicaux pour fixer la journée de solidarité 2019 courant décembre 2018.

L’organisation du temps de travail :

Un groupe de travail a été mis en place au niveau du secteur caisse pour expérimenter un groupe pilote en gestion autonome des horaires. A ce jour trois groupes sont en place et fonctionnent. La Direction propose de poursuivre ce fonctionnement et d’étudier la faisabilité de la mise en place d’autres groupes au niveau du secteur caisse.

La directive est donnée aux chefs de rayon ou service de communiquer le planning minimum 15 jours à l’avance. Cette règle est respectée. La Direction précise que certains rayons vont au-delà et communiquent leurs horaires plus de deux semaines à l’avance. La Direction s’engage à effectuer un rappel en cas de dysfonctionnement. La Direction propose de veiller à communiquer ou faire connaître les plannings au moins 15 jours à l’avance.

c) Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes portant notamment sur les mesures visant à supprimer les écarts de rémunération.

Ecarts de rémunération

Rappel des objectifs fixés en 2017 :

S’agissant des salaires, les rémunérations entre hommes et femmes sont identiques par niveau et échelon. Une précision pour les cadres et agents de maîtrise dont les rémunérations sont fonction de leurs résultats. Ceci étant, le genre du salarié n’est pas pris en compte pour la détermination de sa rémunération.

Les parties avaient convenu de poursuivre le maintien de l’égalité en termes de rémunération et de la non prise en compte du sexe dans le déroulement de carrière.

Bilan des objectifs 2017

En 2017, les rémunérations entre hommes et femmes sont identiques par niveau et échelon. Une précision pour les cadres et agents de maîtrise dont les rémunérations sont fonction de leurs résultats. Ceci étant, aucune prise en compte du genre du salarié n’est prise en compte pour la détermination de sa rémunération.

En 2017, 2 femmes et 1 homme ont eu une promotion (passage à un niveau supérieur).

Proposition de la Direction pour 2018

L’équilibre H/F par catégorie est respecté, exception faite des cadres et encadrants dont les rémunérations sont fonction des résultats individuels.

La Direction propose un maintien de cet objectif d’absence d’écarts de rémunération entre les hommes et les femmes, pour un travail égal, à ancienneté égale, et à poste égal. (hors pour les cadres et encadrant dont la rémunération est fonction des résultats individuels)

d) Qualité de vie au travail :

La Direction propose de maintenir l’anticipation du versement des paies en fonction du calendrier en tenant compte des dimanches et des jours fériés afin de ne pas créer de décalage dans le versement et ainsi de répondre à une meilleure articulation avec les besoins de la vie privée des salariés.

La Direction propose la mise en place d’un panneau d’affichage permettant la mise en relation des salariés souhaitant covoiturer afin de générer pour les salariés une économie sur leurs trajets, mais aussi d’inscrire l’entreprise dans une sensibilisation des salariés à la réduction des gaz à effet de serre.

B – Les organisations syndicales ont présenté les demandes suivantes :

  • délégation syndicale C.F.D.T., a la position ou les propositions suivantes :

Rémunération, temps de travail et répartition de la valeur ajoutée et qualité de vie au travail :

  • Une augmentation de 1,5% pour tous les salariés de l’entreprise.

  • Maintien de la hausse des salaires par rapport à la grille des salaires.

Mise en place d’une consultation des salariés qui font partie d’un groupe horaire.

Cette mise en place peut s’effectuer sur une période en fin de mois ou toutes les trois semaines, les salariés d’un groupe horaire se réunissent un court moment, 15 minutes, sur les horaires « libre choix », et choisissent les horaires proposés et devront les adapter à leur vie privée.

Cela bien sûr avec l’anticipation sur les horaires de la vie professionnelle.

Ouverture des horaires « libres choix » aux autres rayons-services.

Maintien de l’anticipation du versement des salaires en fonction du calendrier et donc des dimanches et jours fériés.

Acquisition des dates plus avantageuses pour les plannings des vacances d’été et d’hiver attribués aux salariés en début d’année (01/02 pour l’été et pour le 01/11 pour l’hiver).

Agents de maîtrise :

Abandon du forfait jour, qui n’est pas pour des agents de maîtrise mais qui est de rigueur pour des cadres, donc du niveau supérieur.

Mise en place d’une prime pour les permanences de nuit, pour couvrir les déplacements et les nuisances sur la vie privée des personnes de permanence.

Revalorisation de la prime de présence :

Prime dans son intégralité à xxx€ bruts (xxx€ nets) avec les conditions suivantes :

1 absence justifiée ou non = -10% du montant

2 absences justifiées ou non = -20% du montant

Au-delà de deux absences le montant de la prime est nul.

Horaires donnés au minimum trois semaines à l’avance pour tous les rayons.

Augmentation du pourcentage pour le personnel lors du passage en caisse.

Augmenter de 5% à 7%, avec le droit à la scanette pour les conjoints et donc le droit au pourcentage en caisse.

Prime d’ancienneté :

Changement du niveau en fonction du nombre d’années d’expérience.

Le salarié se verra changer de niveau en fonction du nombre d’années effectuées dans l’entreprise et donc de son expérience. Ainsi, chaque salarié pourra se voir concrétiser une valorisation de son travail.

Augmentation de la cotisation allouée au budget du CE :

L’entreprise donne, pour le budget social et le budget fonctionnement 0,2% de la masse salariale, nous demandons une hausse de 0,5% de cette cotisation afin de mieux concrétiser les actions sociales auprès des salariés.

Ainsi d’un versement (à définir) de la part de l’entreprise pour cultiver l’esprit d’entreprise lors de l’arbre de Noël.

Wifi gratuit en salle de pause.

  • délégation syndicale C.G.T. a la position ou les propositions suivantes :

La C.G.T. n’a pas formulé de demandes.

ARTICLE 2 : Points d’accord

Les signataires sont convenus des points suivants :

  1. S’agissant du 1er bloc de négociation portant sur les rémunérations, temps de travail

  1. Rémunérations, salaires effectifs

Les parties conviennent de continuer d’appliquer une évolution des salaires supérieure à la grille de la Convention Collective Nationale (Commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire – IDCC 2216).

L’entreprise applique la classification prévue par la CCN dont nous dépendons. La direction vérifie les niveaux de chaque salarié et les modifie s’il y a lieu.

Chaque fonction correspond à un niveau (de 1 à 9) et un échelon (A débutant et B confirmé). La Direction va au-delà de la Convention Collective et pratique depuis plusieurs années un avantage certain et systématique, à savoir :

  • Niveau 3 : la CCN prévoit un passage du niveau 3A au niveau 3B après 12 mois dans la fonction. L’entreprise procède à ce passage après seulement 6 mois.

  • Niveau 4 : la CCN prévoit un passage du niveau 4A au niveau 4B après 24 mois dans la fonction. L’entreprise procède à ce passage après seulement 12 mois.

La Direction rappelle également que si un salarié obtient une qualification et un diplôme relatif à sa fonction, ce salarié sera positionné en qualification de niveau 3 (sur présentation du diplôme).

Les heures de DIF et à présent le compteur CPF donnent la possibilité aux salariés de se qualifier et d’obtenir un diplôme.

Les parties conviennent de nouvelles modalités pour la prime de présence :

  1. Salariés bénéficiaires : statut « employés »

  2. Conditions de présence :

    1. Le salarié doit avoir été présent sur toute la période de référence, du 1er juin au 31 mai de l’année suivante

    2. Il doit en outre être présent à la date de son versement.

  3. Le montant de la prime de présence est versé sur le bulletin de paie du mois de juin de chaque année.

  4. Pour les employés à temps partiel, la prime est proratisée à la durée prévue au contrat de travail.

  5. Face au constat que seul un très faible pourcentage de salariés au regard de l’effectif global a touché dans son intégralité la prime de présence sur le précédant exercice, les parties conviennent que, le montant de la prime sera de xxx€ bruts.

  • Une absence justifiée ou non : -70% de la prime

  • Au-delà d’une absence, la prime n’est pas attribuée

  • Au-delà d’un mois d’absence consécutive, la prime n’est pas attribuée

Ce nouveau critère d’attribution a pour but l’évaluation de son impact dans la baisse de l’absentéisme. Tous les cas d’absence sont pris en compte, hormis les absences légalement assimilées à un temps de travail effectif (congés RTT, congés payés, congés de formation économique ou syndicale).

  1. Entrée en vigueur : période du 1er juin 2018 au 31 mai 2019

Les parties conviennent de travailler sur une prime avec des critères d’attribution différents pour la prochaine NAO.

  1. la journée de solidarité, La durée effective et l’organisation du temps de travail

Le temps de travail des agents de maîtrise (niveaux 5 à 6) et des cadres (niveaux 7 et +) :

Les parties conviennent de travailler avant la fin de l’année sur l’accord temps de travail portant sur les forfaits annuels en jours des agents de maîtrise et des cadres.

Les congés payés :

Les parties conviennent de poursuivre l’organisation en place pour la communication du calendrier des départs en congés payés, à savoir le 1er février pour la période d’été et le 1er octobre pour la période d’hiver.

La Direction rappelle que la prise des congés payés est établie de la manière suivante :

  • Période d’acquisition des droits à congés : du 01/06 de l’année n au 31/05 de l’année n+1

  • Période de prise des droits à congés : du 01/05 de l’année n au 30/04 de l’année n+1

  • Procédure congés payés en vigueur dans l’entreprise : information et consultation du CE et distribution d’un formulaire de recueil de souhaits avec les fiches de paie pour la prise des congés payés d’été et la prise des congés payés d’hiver

  • Renonciation aux jours de congés payés pour fractionnement si demande par le salarié de prise de congés en dehors de la période d’été du 01/05 au 31/10, pour l’une des 4 semaines du congé principal.

La journée de solidarité :

Pour 2018, il avait été convenu que la journée de solidarité se déroule sur deux journées : le mardi 08 mai 2018 et le mardi 10 mai 2018.

Pour l’année 2019, les parties conviennent qu’une réunion soit organisée avec les Délégués syndicaux pour fixer les journées de solidarité courant décembre 2018.

L’organisation du temps de travail :

Un groupe de travail a été mis en place au niveau du secteur caisse pour expérimenter un groupe pilote en gestion autonome des horaires. A ce jour trois groupes sont en place et fonctionnent. La Direction propose de poursuivre ce fonctionnement et d’étudier la faisabilité de la mise en place d’autres groupes au niveau du secteur caisse. Les parties prennent acte de cet engagement.

La directive est donnée aux chefs de rayon ou service de communiquer le planning minimum 15 jours à l’avance. Cette règle est respectée. La Direction précise que certains rayons vont au-delà et communiquent leurs horaires plus de deux semaines à l’avance. La Direction s’engage à effectuer un rappel en cas de dysfonctionnement. La Direction propose de veiller à communiquer ou faire connaître les plannings au moins 15 jours à l’avance. Les parties prennent acte de cette décision.

  1. Egalité hommes femmes : rémunération

Les parties font le constat que l’équilibre H/F par catégorie est respecté, exception faite des cadres et encadrants dont les rémunérations sont fonction des résultats individuels.

Les parties sont convenues de prendre comme objectif de maintenir l’absence d’écarts de rémunération entre les hommes et les femmes, pour un travail égal, à ancienneté égale, et à poste égal (hors pour les cadres et encadrant dont la rémunération est fonction des résultats individuels).

  1. WIFI gratuit en salle de pause (thème supplémentaire).

Les parties conviennent que la faisabilité technique est mise à l’étude et si nécessaire le déploiement d’une ligne sécurisée spécifique sera prévu. Ce dossier a pris du retard du fait de nombreuses contraintes liées à la sécurisation du réseau informatique.

  1. S’agissant du 2ème bloc de négociation : qualité de vie au travail

Les parties conviennent de mettre en place un panneau d’affichage permettant la mise en relation des salariés souhaitant covoiturer.

ARTICLE 3 – Suivi de l’application du présent accord

Les thèmes ayants faits l’objet du présent accord seront soumis à un suivi annuel par la Direction.

Ce suivi comportera :

  • les engagements souscrits par les parties

  • les actions effectuées au cours de l’année écoulée

  • un bilan de ces actions.

Il sera présenté lors d’une réunion du CSE de l’année suivante, au plus tard avant la fin du 1er trimestre, réunion à laquelle les organisations syndicales participent. Le bilan sera ensuite affiché.

ARTICLE 4 - Durée

Le présent accord s'applique pour une durée déterminée d’un an, sauf autre précision contenue dans le présent accord.

ARTICLE 5 : Publicité

Le présent accord sera déposé auprès de la Direction Régionale de l’Entreprise de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE), Unité Départementale de la Loire en 2 exemplaires originaux dont l’un, dûment signé par toutes les parties, par courrier recommandé avec accusé de réception et l’autre, par dépôt sur le site internet de dépôt des accords : https://www.teleaccords.travail-emploi.gouv.fr/PortailTeleprocedures/

Un exemplaire sera déposé au Conseil de Prud’hommes.

Un exemplaire en sera remis à chacun des signataires et au secrétaire du Comité d'Entreprise.

Il sera annexé à chaque exemplaire original du présent accord :

  • Copie de la notification aux organisations syndicales de l’accord ;

  • Copie du PV des résultats du 1er tour des dernières élections professionnelles ;

  • Un bordereau de dépôt d’un accord d’entreprise ;

Les parties conviennent qu’il sera en outre déposé un acte de publication partielle.

Le procès-verbal donnera lieu à affichage.

Fait à ANDREZIEUX-BOUTHEON, le 31 mai 2018.

Pour l’organisation syndicale CFDT La Présidence

M. xxxxxxxxxxxx Mme xxxxxxxxxxxxx

Pour l’organisation syndicale CGT

Mme xxxxxxxxxx

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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