Accord d'entreprise "ACCORD D'ENTREPRISE RELATIF AU TELETRAVAIL" chez NORGINE SAS (Siège)

Cet accord signé entre la direction de NORGINE SAS et les représentants des salariés le 2018-02-12 est le résultat de la négociation sur les autres dispositifs d'aménagement du temps de travail, le télétravail ou home office.

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et les représentants des salariés

Numero : A09218031523
Date de signature : 2018-02-12
Nature : Accord
Raison sociale : NORGINE SAS
Etablissement : 55201968900058 Siège

Télétravail : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur les thèmes suivants

Conditions du dispositif télétravail pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2018-02-12

Accord d’entreprise relatif au télétravail

Entre

NORGINE SAS, 2 rue Jacques Daguerre à Rueil-Malmaison, immatriculée au R.C.S. de Nanterre sous le numéro 552 019 689 et représentée par xxx, en qualité de Responsable des Ressources Humaines,

d’une part,

Et

L’organisation syndicale représentative UNSA représentée par xxx, en sa qualité de déléguée syndicale,

d’autre part.

Les Parties susvisées ont, dans le cadre de l'article L. 1222-9 du Code du travail, engagé la négociation relative à la mise en place du télétravail.

A l’issue des réunions qui se sont tenues les 4 et 26 janvier 2018 à Rueil-Malmaison, les parties ont convenu ce qui suit :

Préambule

Afin de

  • prendre en compte les technologies de l’information et de la communication qui permettent de définir de nouvelles formes d’organisation du travail

  • ainsi que de permettre de réduire l’impact du temps de trajet domicile / travail et contribuer ainsi à l’amélioration de la qualité de vie au travail, tout en maintenant un fonctionnement optimal de l’entreprise

la Direction et l’UNSA ont conclu, le 12 février 2018, le présent accord d’entreprise relatif au télétravail pour une durée de trois ans.

Titre I – Périmètre de l’accord

Le présent accord concerne l’ensemble des salariés appartenant à la société NORGINE SAS remplissant les critères définis à l’article 1 à l’exception des catégories suivantes :

  • les salariés dont l’activité est par nature itinérante ;

  • les salariés ayant le statut de cadre dirigeant, compte tenu de leur très grande autonomie dans l’organisation de leur travail et de leur temps de travail.

Titre II – Conditions

Le télétravail n’est ni un droit, ni une obligation ; sa mise en œuvre répond aux conditions définies ci-dessous.

Article 1/ Eligibilité

Les parties conviennent que le télétravail est fondé sur la capacité du salarié à exercer ses fonctions de façon autonome et implique que l’activité du salarié puisse être exercée à distance.

Il nécessite certaines aptitudes individuelles et des qualités professionnelles comme la gestion du temps de travail et une bonne maîtrise des applications informatiques indispensables à son activité.

Sont dès lors éligibles au télétravail les salariés :

  • titulaires d’un contrat de travail à durée indéterminée à temps plein ou partiel (ou forfait jours réduit, le cas échéant) à 80% minimum ;

  • justifiant d’une ancienneté minimale de six mois dans le poste ;

  • disposant d’une capacité d’autonomie suffisante dans le poste occupé et ne nécessitant pas de soutien managérial rapproché (pendant le télétravail) ;

  • occupant un poste pouvant être exercé de façon partielle à distance : La compatibilité entre les activités exercées par le salarié et le télétravail relève de l’appréciation du Responsable Hiérarchique. Il vérifiera notamment :

    • Si la présence physique du salarié est requise dans les locaux de l’entreprise pour des raisons légales ou pratiques (par exemples : impression, lecture et/ou consultations journalière de documents non dématérialisé, équipements matériels spécifiques …).

    • Si l’activité du salarié n’implique pas la manipulation de données/documents ne devant pas être sortis des locaux de l’entreprise pour des raisons de sécurité (perte ou dénaturation de données) et/ou de préservation de la confidentialité des données traitées.

  • occupant un poste dont l’exécution en télétravail est compatible avec le bon fonctionnement du service et la configuration de l’équipe de rattachement ;

  • dont le domicile répond aux exigences techniques minimales requises pour la mise en œuvre d’une organisation en télétravail, en particulier la nécessité de disposer d’un espace de travail dédié et adapté à ce mode d’organisation, une connexion internet à haut débit et une installation électrique conforme.

Ces conditions d’éligibilité sont cumulatives.

Outre les demandes présentées par les salariés ne remplissant pas l’une des conditions précitées, seront refusées les demandes formulées par les salariés :

  • dont les fonctions exigent, par nature, une présence physique permanente dans les locaux de l’entreprise ;

  • bénéficiant d’une formation continue longue.

Le Médecin du travail recevra du département des Ressources Humaines la liste des candidats au télétravail et fera part, dans le respect de ses règles déontologiques, de toute situation individuelle qui lui semblerait rendre le télétravail inapproprié.

Pour favoriser la présence dans la communauté de travail nécessaire à l’appréhension et l’apprentissage du monde du travail, sont exclus de la possibilité d’opter pour le télétravail les salariés en contrat d’apprentissage, en contrat de professionnalisation, en convention CIFRE ainsi que les stagiaires.

Article 2/ Principe de volontariat, d’engagement et de confiance mutuels

Les parties rappellent que le télétravail s’inscrit nécessairement dans une démarche fondée sur l’accord des deux parties et la double réversibilité tant à l’initiative du salarié que de l’employeur. Il ne peut être mis en œuvre qu’à la demande du salarié et après examen et accord de l’employeur.

L’organisation du télétravail repose par ailleurs sur une relation de confiance entre le salarié et son responsable hiérarchique, mais aussi sur la faculté qui doit être donnée à l’employeur de pouvoir apprécier les résultats par rapport aux objectifs fixés.

Titre II – Mise en place

Article 3/ Candidature et acceptation

Les parties conviennent que le passage en télétravail est subordonné à l’accord du responsable hiérarchique et du département des Ressources Humaines à la fois sur le principe et sur les modalités d’organisation du télétravail (notamment sur le choix des jours effectués en télétravail).

Le manager sera attentif à ce que le nombre de télétravailleurs au sein de son équipe soit compatible avec le bon fonctionnement du service et l’organisation.

Les étapes de la procédure de candidature sont les suivantes :

  • le salarié qui souhaite bénéficier du télétravail doit en faire la demande écrite par courrier au département des Ressources Humaines ;

  • le responsable hiérarchique examine la demande du salarié ;

  • le département des Ressources Humaines répond au salarié. Cette réponse sera délivrée par écrit dans un délai maximum d’un mois. Cette réponse porte à la fois sur le principe et, en cas d’acceptation, sur les modalités de mise en œuvre du télétravail. Toute décision de refus sera motivée.

En dehors de la procédure décrite ci-dessus, le télétravail occasionnel pourra être mis en œuvre à titre exceptionnel. Le cas échéant, il sera également soumis à autorisation préalable du manager et du département des Ressources Humaines.

Un suivi annuel sera effectué avec le comité d’entreprise et le C.H.S.C.T. (nombre de télétravailleurs, motifs des refus, éventuelles difficultés liées à la mise en œuvre du télétravail…).

Article 4/ Période d’adaptation et réversibilité permanente

Une période d’adaptation de trois mois permettra à chacun de s’assurer que ce mode d’organisation est compatible avec les attentes et intérêts de chacune des parties. Pendant cette période, chacune des parties pourra mettre fin à l’organisation en télétravail sans délai pour le salarié et moyennant un délai de prévenance de quinze jours minimum pour l’employeur. A l’issue de cette période d’adaptation, un entretien de bilan aura lieu entre le salarié et le responsable hiérarchique.

Passée la période d’adaptation, le salarié ou le responsable hiérarchique pourront librement mettre fin à la situation de télétravail, tout au long de l’année sans délai pour le salarié, moyennant un délai de prévenance minimum d’un mois pour l’employeur.

Lorsqu’il est mis fin à la situation de télétravail, le salarié reprend son activité dans les mêmes conditions que celles applicables antérieurement.

Article 5/ Changement de fonction

Un réexamen des critères d’éligibilité avec le responsable hiérarchique sera possible en cas de changement de fonction du salarié et pourra donner lieu à la cessation de la situation de télétravail ou à la révision d’une décision de refus.

Titre III – Organisation

Article 6/ Rythme de télétravail

L’activité exercée en télétravail à domicile ne pourra excéder deux journées par mois.

Modalités de prise de ces deux jours :

  • ne pas les fractionner par demi-journée

  • ne pas les poser sur une même semaine

  • ne pas les poser si a minima 2 jours de CP/RTT sont déjà posés sur cette semaine

  • demande à effectuer, selon le même principe que pour les jours de CP/RTT, mais avec le motif « télétravail » :

    • via l’application de gestion des absences,

    • à réaliser chaque début de mois,

    • approbation ou pas du supérieur hiérarchique,

    • une fois approuvées, le salarié devra faire figurer ces deux journées de télétravail dans son calendrier Outlook.

A noter, soit ces deux jours sont totalement pris sur le mois, soit ils ne le sont pas et dans ce cas, le salarié ne peut pas prétendre à un report du ou des jours non pris sur le ou les mois antérieurs ou suivants.

Il est cependant convenu que pour des raisons de santé ce rythme pourra être revu et adapté.

A titre exceptionnel et en raison de nécessité de services, certaines journées initialement prévues en télétravail pourront être effectuées sur site à la demande du salarié avec l’accord du management ou à la demande du management. Dans cette situation, le jour de télétravail sera reporté à une date choisie conjointement entre le salarié et le supérieur hiérarchique dans la limite d’un délai maximum de 7 jours calendaires antérieurs ou postérieurs à la date du jour en télétravail initialement prévue.

Si pour des raisons personnelles, le salarié ne peut exercer son activité à son domicile un ou des jours initialement prévus en télétravail, il l’exercera alors dans l’entreprise dans laquelle il exerce habituellement son activité sans pouvoir reporter ni cumuler ces jours de télétravail sur une autre période.

Article 7/ Maintien du lien avec l’entreprise

Le responsable hiérarchique veille à assurer un contact régulier avec le salarié en situation de télétravail, et est attentif, dans la mesure du possible, à ce que l’organisation des réunions permette la présence du salarié. Le télétravail ne devra pas être un frein à la participation à la vie du service et notamment aux réunions.

L’ensemble de la politique Ressources Humaines reste applicable au télétravailleur.

L’entretien annuel avec le salarié porte notamment sur les conditions d’activité du salarié et sa charge en télétravail.

De plus, les salariés télétravailleurs bénéficient d’entretiens périodiques avec leurs managers dans les conditions et suivant le même rythme que les autres salariés, avec notamment un point régulier sur la bonne exécution de leurs tâches.

Article 8/ Modalités d’organisation de l’activité du télétravailleur

8.1 Organisation de l’activité du télétravailleur

L’activité exigée du télétravailleur doit être équivalente à celle des salariés en situation comparable travaillant dans les locaux de l’entreprise.

8.2 Contrôle et gestion du temps de travail

Le salarié en situation de télétravail gère l’organisation de son temps de travail à domicile dans le cadre des dispositions légales et conventionnelles en vigueur dans l’entreprise. Pour ce faire, comme pour le travail réalisé dans l’entreprise, l’employeur s’assure que la charge de travail et les délais d’exécution permettent au télétravailleur de respecter notamment les durées maximales de travail et les durées minimales de repos.

Afin de respecter le principe du respect de la vie privée, les plages horaires durant lesquelles le télétravailleur pourra être contacté sont fixées en correspondance avec son horaire habituel de travail dans le cadre des dispositions conventionnelles en vigueur.

L’amplitude horaire des plages définies devra impérativement permettre au télétravailleur de respecter les durées minimales légales de repos quotidien (11 heures) et hebdomadaire (35 heures) pour tous les salariés, ainsi que les durées maximales quotidiennes et hebdomadaires de travail pour les salariés soumis à un régime en heures.

Compte tenu de cette nouvelle d’organisation du travail, les parties reconnaissent que les technologies de l’information et de la communication (TIC) devront être maitrisées et dans ce cadre il est reconnu au télétravailleur un droit à la déconnexion dans les mêmes termes que ceux de l’accord d’entreprise relatif à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et la qualité de vie au travail signé le 15/03/2017.

Article 9/ Environnement et équipement de travail

L’employeur demande au salarié, préalablement à son passage en télétravail, de s’assurer de la compatibilité de son installation avec un fonctionnement en télétravail. Il s’assure par ailleurs de la conformité de l’installation électrique de son lieu en télétravail à la réglementation en vigueur et en certifie la conformité à la société par la remise d’une attestation de conformité permettant le télétravail par l’utilisation des TIC de son lieu de travail (ordinateur). Cette conformité des installations est une condition préalable pour bénéficier du télétravail. Aucun salarié ne saurait effectuer son activité sans s’assurer de cette conformité.

Le télétravailleur s’engage à prévoir un espace de travail dédié dans son domicile, qui soit conforme aux règles de sécurité et qui permette un aménagement en poste de télétravail. L’environnement personnel doit être propice au travail et à la concentration.

L’entreprise s’engage à fournir et entretenir les équipements nécessaires à l’activité en télétravail : un ordinateur portable dans la mesure où le salarié n’en serait pas déjà équipé dans les locaux de l’entreprise (téléphonie incluse).

Le matériel mis à la disposition du télétravailleur à usage strictement professionnel par l’entreprise reste la propriété de celle-ci et devra lui être restitué en fin de situation de télétravail. Le télétravailleur prend soin des équipements qui lui sont confiés.

Le télétravail est une possibilité offerte par l’entreprise et sa mise en œuvre résulte d’une demande exclusive du salarié, la société ne prend donc pas en charge les frais réels de fonctionnement (notamment abonnement internet).

En cas de panne ou de mauvais fonctionnement des équipements de travail, le télétravailleur doit en aviser immédiatement son responsable.

Titre IV – Droits et devoirs du salarié et prévention des effets de l’isolement

Article 10/ Droits collectifs

Le salarié en situation de télétravail bénéficie des mêmes droits collectifs légaux et conventionnels que ceux applicables aux salariés en situation comparable travaillant dans les locaux de l’entreprise.

Article 11/ Droits individuels

Le salarié en situation de télétravail bénéficie des mêmes droits individuels que les autres salariés de l’entreprise, notamment en matière de formation professionnelle, de déroulement de carrière, d’entretiens professionnels et de politique d’évaluation. Ainsi le télétravailleur doit être placé dans une situation identique à celle des salariés exerçant une activité comparable au sein des locaux de l’entreprise, notamment en ce qui concerne la charge de travail, les délais d’exécution, ainsi que l’évaluation des résultats du télétravailleur.

L’employeur est tenu de respecter la vie privée du salarié et les plages horaires durant lesquelles le télétravailleur pourra être contacté sont fixées en correspondance avec son horaire habituel de travail dans le cadre des dispositions conventionnelles en vigueur.

L’employeur n’impose nullement l’utilisation de la ligne privée pour les communications téléphoniques professionnelles (ordinateurs fournis, équipés de l’application Skype Entreprise).

Article 12/ Santé et sécurité

Les dispositions légales et conventionnelles relatives à la santé et à la sécurité au travail sont applicables aux télétravailleurs. A cet effet, le télétravailleur atteste que son domicile (lieu de télétravail) permet l’exécution du travail dans de bonnes conditions de santé et de sécurité.

Le télétravailleur à domicile pourra demander des conseils en ergonomie auprès de l’employeur. Un dépliant sur l’ergonomie du poste de travail informatisé proposé par le service de médecine du travail sera fourni à chaque nouveau télétravailleur.

Si un accident survient au domicile pendant le/les jours de télétravail, le salarié en avise sa hiérarchie et le département des ressources humaines dans les mêmes délais et dans les mêmes formes que lorsqu’il effectue son activité dans les locaux de l’entreprise.

Le domicile est bien un lieu de travail selon les jours et horaires convenus. Tout accident survenu au télétravailleur à son domicile pendant le temps de travail sera donc soumis au même régime que s’il était intervenu dans les locaux de l’entreprise.

Compte tenu des aménagements dont le télétravailleur dispose à son domicile et des équipements qui lui sont fournis, le salarié en arrêt maladie, congés payés ou RTT, et son manager devront veiller à ce que le télétravailleur n’utilise pas les moyens qui lui ont été octroyés, pendant l’arrêt prescrit ou pendant la prise des congés payés/RTT.

Article 13/ Protection des données, confidentialité

Le salarié en situation de télétravail est tenu de respecter l’ensemble des principes prévus dans la procédure « IT Security » disponible sur GENIE / eGSOP.

Le télétravailleur porte une attention particulière aux règles de sécurité et plus spécifiquement à ses moyens d’authentification (mots de passe…) qui sont personnels, confidentiels et incessibles.

Le télétravailleur reste tenu de respecter les règles de confidentialité fixées par l’entreprise. Il doit en particulier à ce titre préserver la confidentialité des données qui lui sont confiées.

Article 14/ Assurances

Le salarié doit déclarer sa situation de télétravail auprès de sa compagnie d’assurance et doit justifier auprès de l’employeur de la souscription d’une assurance multirisque habitation incluant la responsabilité civile.

Ces conditions de couverture d’assurance devront être remplies préalablement à la première mise en œuvre du télétravail et le salarié devra fournir les justificatifs nécessaires au département des ressources humaines.

Article 15/ Actions de communication et de sensibilisation

Des actions d’accompagnement et de sensibilisation spécifiques du management au travail à distance seront organisées.

Le télétravailleur bénéficiera d’une sensibilisation appropriée à ce mode d’organisation du travail.

Titre V – Dispositions finales

Article 16/ Durée et formalités

Le présent accord est conclu pour une durée déterminée de trois ans.

Il entrera en vigueur le 1er avril 2018. Il cessera de produire ses effets trois ans après sa date d’entrée en vigueur.

Le texte du présent accord est déposé en deux exemplaires, dont un exemplaire sous-forme électronique, auprès de la DIRECCTE de Nanterre, et en un exemplaire auprès du secrétariat greffe du conseil de prud’hommes de Nanterre.

L’accord donnera lieu à affichage.

Article 17/ Révision

Le présent accord pourra être révisé, à tout moment, pendant la période d’application par accord entre les parties.

Toute demande de révision, totale ou partielle, devra être effectuée par lettre recommandée avec accusé de réception adressée aux autres parties signataires. Elle doit être accompagnée d’une proposition nouvelle sur les points à réviser.

La discussion de la demande de révision doit s’engager dans les 3 mois suivants la présentation de celle-ci.

Toute modification fera l’objet d’un avenant conclu dans les conditions prévues par les dispositions législatives et réglementaires.

En quatre (4) exemplaires, dont un (1) pour chacune des parties signataires, fait à Rueil-Malmaison, le 12 février 2018,

Pour NORGINE SAS,

xxx

Responsable des Ressources Humaines

Pour les organisations syndicales,

UNSA

xxx

ANNEXE 1 – procédure de candidature et d’acceptation du télétravail

Demande écrite et signée du salarié auprès du département des Ressources Humaines

Etude de la demande par le responsable hiérarchique avec, le cas échéant, entretien avec le salarié

1 mois maximum

Réponse écrite du département des Ressources Humaines

Refus motivé de la demande Acceptation de principe de la demande

Remise au département des Ressources Humaines

par le salarié des attestations requises :

1-attestation sur l’honneur de conformité de l’installation électrique

2-attestation sur l’honneur du respect du domicile des conditions de santé et sécurité

3-justificatif assurance habitation multirisque incluant la responsabilité civile

Acceptation définitive

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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