Accord d'entreprise "Accord sur la mise en place du comité social et économique au sein de la société eiffage construction sud-est" chez EIFFAGE CONSTRUCTION SUD-EST (Siège)

Cet accord signé entre la direction de EIFFAGE CONSTRUCTION SUD-EST et le syndicat CGT et CFE-CGC le 2023-08-29 est le résultat de la négociation sur l'exercice du droits syndical, les instances représentatives du personnel et l'expression des salariés.

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CGT et CFE-CGC

Numero : T01323060131
Date de signature : 2023-08-29
Nature : Accord
Raison sociale : EIFFAGE CONSTRUCTION SUD-EST
Etablissement : 35328606500084 Siège

Droit syndical : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur le thème Droit syndical, IRP, expression des salariés Accord sur la mise en place du comité social et économique au sein de la Société Eiffage Construction Provence (2019-09-17)

Conditions du dispositif droit syndical pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2023-08-29

Entre la Société Eiffage Construction Sud-Est, SAS au capital de 1 155 000 €, inscrite au RCS de Marseille sous le numéro 353 286 065, représentée par en sa qualité de directeur régional délégué,

D’une part,

Et

Les Organisations Syndicales représentatives suivantes :

Pour la CFDT

Pour la CGT

Pour la CFE-CGC

D’autre part,

Préambule

Cet accord est conclu en application de l’ordonnance n°2017-1386 du 22 septembre 2017 relative à la nouvelle organisation du dialogue social et économique dans l'entreprise et favorisant l'exercice et la valorisation des responsabilités syndicales, ratifiée par la loi n°2018-217 du 29 mars 2018, et plus précisément des articles L. 2313-1, et L. 2313-2 du Code du travail, relatifs à la mise en place du comité social et économique.

Par ailleurs, cet accord s’inscrit dans le cadre de la réorganisation de la société intervenue au 1er janvier 2020, avec la création de la société Eiffage Construction Sud-Est.

La Direction de la Société a souhaité définir le périmètre de ces instances représentatives du personnel au sein de son territoire.

Une négociation a été engagée avec les organisations syndicales représentatives et la direction de la société afin de déterminer le cadre de mise en place et les conditions de fonctionnement des CSE, dans l’objectif de garantir le droit des salariés à être représentés.

Le présent accord détermine notamment :

  • Le cadre de mise en place des CSE ;

  • La composition et le fonctionnement des commissions.

  • Les conditions de son fonctionnement ;(heures de délégations, commissions, sous commissions, réunions)

Dans ce contexte, les parties ont convenu de ce qui suit :

Champ d’application

Les dispositions du présent accord s'appliquent à la société EIFFAGE CONSTRUCTION SUD-EST, dont le siège social est situé à Marseille.

Sort des mandats en cours

Les mandats des membres des instances représentatives arrivent normalement à échéance comme suit :

  • CSE Provence : le 03 décembre 2023.

  • CSE Azur : le 13 septembre 2023.

Afin de permettre le renouvellement des instances représentatives de manière concomitantes au sein d’Eiffage construction Sud-Est, les parties conviennent la nécessité de proroger les mandats des représentants du CSE Azur jusqu’en novembre 2023 et de réduire les mandats des représentants du CSE Provence jusqu’en novembre 2023.

Les mandats prendront fin automatiquement lors de la proclamation des résultats du 1er tour des prochaines élections.

Mise en place du Comité Social Economique (CSE)

Les CSE constituent l’instance unique de représentation du personnel.

  1. Périmètre de mise en place du CSE

Les parties conviennent qu’il existe au sein de la Société 7 Etablissements qui sont :

  • Sur le bassin d’activité de Marseille, pour le regroupement des Etablissements de Provence basés : 7, rue du devoir – CS 30510 – 13344 MARSEILLE CEDEX 15 (Eiffage Construction Provence et Eiffage Construction Provence Résidentiel)

  • Eiffage construction Sud-Est (Siège) : 7, rue du devoir – CS 30510 – 13344 MARSEILLE CEDEX

  • Etablissement du Vaucluse : 181 rue Marcel Demonque – BP 41551 – 84916 AVIGNON CEDEX 9

  • Etablissement de Vauvert : Zone industrielle Mas de Bardet, Avenue Ampère - 30600 VAUVERT

  • Etablissement des Alpes maritimes : 444, boulevard du mercantour Espace Saint Isidore – 06200 NICE

  • Etablissement du Var : 431, boulevard de Léry – 83140 SIX FOURS LES PLAGES

Deux CSE seront mis en place sur ce périmètre :

  • Un CSE Provence pour le Regroupement des Etablissements de Provence, l’établissement du Vaucluse, Eiffage construction Sud-Est (Siège) et l’établissement de Vauvert

  • Un CSE Azur pour l’Etablissement du Var et l’établissement des Alpes Maritimes

Par ailleurs, un CSE central sera mis en place au niveau d’Eiffage Construction Sud-Est.

Les membres de ce CSE seront élus selon des modalités électorales fixées par un protocole d’accord pré-électoral distinct du présent accord.

En cas d’évolution ultérieure de l’organisation de la société, les parties conviennent de se revoir pour procéder à un nouveau découpage des établissements distincts.

Les particIpants aux réunions

Le CSE est présidé par l'employeur ou son représentant, assisté éventuellement de trois collaborateurs qui ont voix consultative.

La délégation au CSE participant aux réunions est composée de ses membres titulaires et des représentants syndicaux au CSE, ces derniers ayant seulement voix consultative.

Les suppléants au CSE n’assistent aux réunions qu’en l’absence d’un titulaire.

Toutefois, les parties s’accordant à considérer l’importance de la bonne communication aux salariés des informations relatives à la marche de l’entreprise, il est convenu que chaque membre du CSE doit pouvoir avoir accès au même niveau d’information s’agissant de la stratégie de l’entreprise. Pour cela, les membres suppléants pourront assister à la réunion portant sur la consultation des orientations stratégiques de l’entreprise prévues par l’article L. 2312-17 et suivants, selon la périodicité qui sera retenue au sein de l’entreprise, ou à défaut d’accord, au maximum une fois par an.

Les suppléants seront destinataires des convocations, des ordres du jour et des documents transmis aux titulaires afin de pouvoir remplacer ces derniers en cas d’absence.

Le règlement intérieur du CSE définit les modalités selon lesquelles le suppléant et la direction seront informés de l’absence d’un titulaire et du délai de prévenance minimum afin de garantir l’organisation du service.

Une réunion préparatoire avant chaque réunion du CSE à laquelle participent les membres titulaires et suppléants permettra d’organiser notamment la suppléance en cas d’absence d’un titulaire.

Conformément à l’accord du groupe Eiffage relatif à la prévention des RPS conclu le 14 avril 2021, un référent RPS sera désigné parmi les membres titulaires ou suppléants de chaque CSE, idéalement membre de la CSSCT. Le référent RPS pourra être également le référent sur la lutte contre le harcèlement et les agissements sexistes.

Heures de délégation SUPRA LEGALES

En complément des crédits d’heures des membres prévus par l’article R. 2314-1, il est convenu d’accorder, dans les CSE couvrant au moins 50 salariés, un crédit d’heures complémentaires dans les conditions suivantes :

  • Pour les secrétaires du CSE et du CSE Central : crédit d’heures complémentaires de 10 heures par mois.

  • Pour les trésoriers du CSE : crédit de 9 heures complémentaires par mois.

Ces dispositions seront applicables sous réserve que le protocole d’accord préélectoral les prévoit expressément.

Les commissions du CSE

Les membres des commissions désignées ci-après sont désignés parmi les membres titulaires ou suppléants du CSE, au scrutin secret uninominal majoritaire à un tour.

  1. La Commission Santé Sécurité Conditions de Travail (CSSCT)

Les parties reconnaissent que les sujets relatifs à prévention et à la sécurité constituent un enjeu majeur pour l’entreprise.

Les parties signataires ont convenu de mettre en place une Commission Santé Sécurité Conditions de Travail (CSSCT) au sein de chaque CSE.

Le rapporteur bénéficiera d’un crédit spécifique annuel de 10 heures de délégations complémentaires.

Les membres de la commission sont élus parmi les membres du CSE.

  1. Missions de la CSSCT

La Commission Santé Sécurité et Conditions de Travail, qui est une émanation du CSE et qui n’a pas la personnalité morale, a en charge les questions relatives :

  • A la santé physique ou mentale des salariés,

  • Aux conditions de sécurité,

  • Aux conditions de travail des salariés.

Cette commission a pour mission de travailler sur ces questions dans le périmètre du CSE dont elle dépend et d’en restituer la synthèse aux autres membres du CSE. Cette synthèse pourra être jointe préalablement à l’ordre du jour de chaque réunion du CSE portant sur les questions de santé, sécurité et des conditions de travail, si elle est transmise à l’employeur suffisamment à l’avance.

Les parties conviennent que le CSE délègue à la CSSCT les missions suivantes :

  • Les inspections périodiques en présence de l’employeur ou son représentant,

  • Les enquêtes suite un accident de travail, d’une maladie professionnelle, ou en cas de danger grave et imminent,

  • La formulation de recommandations en matière de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles, de harcèlement moral, harcèlement sexuel et des agissements sexistes.

  • Les enquêtes diligentées dans le cadre de l’accord Eiffage du 14 avril 2021 relatif à la prévention des RPS, ou tout autre accord ayant le même objet.

La Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail ne se substitue pas au CSE, en particulier s’agissant de ses prérogatives consultatives sur les projets de l’entreprise ayant un impact en matière de santé, sécurité et sur les conditions de travail, et sur les éventuels recours à une expertise.

  1. Composition de la CSSCT

La CSSCT est présidée par l’employeur ou son représentant.

Le nombre de membres de chaque CSSCT mise en place au niveau du CSE est fixé à 4 membres, dont 1 membre du 2 ème et 1 membre du 3ème collège.

Par ailleurs, des sous-commissions pourront être mises en place pour assurer une représentation équilibrée de l’ensemble des sites et favoriser une vraie proximité entre les salariés et les membres de la CSSCT.

L’appartenance des membres du CSE à la CSSCT repose sur le volontariat. Les membres sont désignés au sein du CSE, dès la première réunion de ce dernier, par une délibération adoptée à la majorité par les membres du CSE, étant précisé que l’employeur ne prend pas part au vote. Leur mandat prend fin avec le mandat de membre du CSE.

Chaque CSSCT désignera en son sein un rapporteur qui aura pour mission principale de rédiger les comptes rendus des travaux de cette dernière, et de les transmettre à la direction et au CSE. Le rapporteur s’il est suppléant assiste aux réunions relatives à la santé et à la sécurité du CSE, et pourra être accompagné d’un autre membre de la CSSCT.

Les membres de chaque commission sont élus au sein de chaque CSE.

  1. Modalités de fonctionnement de la CSSCT

Le président organise et anime les réunions de la CSSCT. Le temps passé aux réunions de la CSSCT organisées par l’employeur est rémunéré comme du temps de travail effectif. Ce temps n'est pas déduit des heures de délégation prévues pour les membres titulaires de la délégation du personnel du CSE.

Le médecin du travail et le responsable interne du service de sécurité et des conditions de travail, l'agent de contrôle de l'inspection du travail, ainsi que les agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale et un représentant de l’OPPBTP sont invités aux réunions de la CSSCT et du CSE portant sur les questions de santé, sécurité et des conditions de travail.

  1. Moyens de la CSSCT

Pour l’exercice de leurs prérogatives, chaque membre de la CSSCT bénéficie d’un crédit de 60 heures de délégation par an, en complément des heures octroyées dans le cadre de son mandat de membre du CSE. Les membres de la CSSCT non titulaires au CSE bénéficient également d’un forfait annuel de 60 heures par an.

  1. Réunions de la CSSCT

L’employeur organise une réunion de la CSSCT par trimestre. Cette réunion se tient préalablement à une des 4 réunions annuelles du CSE portant sur des questions de santé, sécurité et des conditions de travail.

  1. Commission sociale

Compte tenu de la forte proximité entre les différents thèmes abordés autour des commissions égalité professionnelle, formation, GEPP, les membres signataires prévoient la création d’une commission sociale qui aura pour objectif de regrouper les missions des commissions précitées.

Elle sera composée de 5 membres, dont au moins 1 membre du 2e collège et 3e collège.

Les membres sont élus parmi les membres titulaires du CSE.

Cette commission se réunira à l’initiative du président du CSE en dehors des réunions du CSE au moins 2 fois par an et rendra compte de ses travaux aux membres du CSE. Les rapports des commissions sont soumis à la délibération du CSE.

Ces commissions pourront être présidées par une personne désignée par le président du CSE. En fonction de la nature du sujet traité, le président du CSE pourra déléguer la présidence à un collaborateur du service RH.

Budgets de fonctionnement et œuvres sociales

Le CSE dispose d’un budget de fonctionnement destiné à couvrir les dépenses engagées pour son fonctionnement et pour l'exercice de ses attributions économiques et professionnelles et d’un budget dédié aux activités sociales et culturelles destiné à financer des activités sociales et culturelles au profit des salariés et de leur famille.

Le budget de fonctionnement dont dispose le CSE est fixé à 0,20% de la masse salariale brute dans les entreprises de 50 salariés à 2000 salariés.

Selon les modalités actuellement en vigueur dans l’entreprise, le budget annuel alloué aux œuvres sociales est calculé comme suit : 0,65% de la masse salariale (montant brut plafonné TA).

REUNIONS DU CSE

Les parties conviennent de porter le nombre de réunions à 11 par an, par dérogation aux 12 réunions par an.

Le nombre de réunion pourra éventuellement être modifié par accord entre la direction et les organisations syndicales majoritaires, ou la majorité des membres titulaires du CSE en cas de besoin.

Une réunion préparatoire d’une durée de quatre heures au maximum se tiendra avant chaque réunion du CSE, à laquelle seront invités à l’initiative du secrétaire du CSE, les membres titulaires et les membres suppléants. Les heures consacrées à cette réunion qui servira de support d’information à l’attention de l’ensemble des membres du CSE seront rémunérées comme du temps de travail effectif dans la limite de deux heures. Cette réunion préparatoire permettra également d’organiser la suppléance en cas d’absence d’un membre titulaire.

Suivi des élus en fin de mandat

Sont applicables les mesures prévues par l’accord GEPP du 22 septembre 2021 et l’accord sur le développement du dialogue social du 14 mai 2018, notamment en matière d’accompagnement de fin de mandat : « les salariés titulaires de mandat disposant d’heures de délégation sur l’année représentant plus de 30 % de leur durée du travail devront bénéficier, d’un entretien professionnel à l’issue de leur mandat qui pourra être suivi d’un second entretien après 6 mois de reprise d’activité professionnelle ».

Formation des membres du CSE

  1. La formation économique des membres titulaires du CSE

Les membres titulaires du comité social et économique élus pour la première fois bénéficient d’une formation économique d’une durée maximale de 5 jours, réalisée par un organisme habilité. Cette formation se déroule sur le temps de travail et ne s’impute pas sur les heures de délégation des membres titulaires.

La durée de formation est imputée sur la durée du congé de formation économique, sociale et syndicale. Le financement de la formation incluant aussi bien le prix du stage que les éventuels frais de déplacement et d'hébergement, est pris en charge sur le budget de fonctionnement du CSE. En cas d’insuffisance du budget de fonctionnement pour assurer le financement de cette formation, l’entreprise s’engage à abonder le budget en conséquence.

Cette formation peut également s’adresser aux membres suppléants du CSE, à leur demande

  1. La formation santé et sécurité des membres du CSE

Les membres titulaires et suppléants du comité social et économique devront suivre obligatoirement une formation nécessaire à l'exercice de leurs missions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail, d’une durée minimale de 5 jours dans les entreprises.

La formation sera dispensée auprès d’un organisme agréé, dès la désignation des membres de la délégation du personnel du CSE, selon un programme théorique et pratique préétabli qui tient compte des caractéristiques de la branche professionnelle, des caractères spécifiques de l'entreprise et du rôle du représentant au CSE. Le temps consacré à cette formation est considéré comme du temps de travail effectif et est rémunéré comme tel, il ne s’impute donc pas sur les heures de délégation des membres titulaires.

Le financement de la formation santé et sécurité est pris en charge par l’employeur dans les conditions de l’article art. et suivants du code du travail.

Une demande écrite d'autorisation d'absence doit être faite auprès du supérieur hiérarchique, au moins 30 jours avant le début de la formation.

La demande doit préciser :

  • La date et durée de l'absence prévue

  • Le prix du stage

  • Le nom de l'organisme responsable du stage

Date d’entrée en vigueur et durée de l’accord

Le présent accord prend effet à la date de la signature.

Le présent accord est conclu pour une durée indéterminée.

Adhésion

Conformément aux dispositions de l’article L. 2261-3 du Code du travail, toute organisation syndicale représentative du personnel au sein de la Société, qui n’est pas signataire du présent accord, pourra y adhérer ultérieurement.

Cette adhésion ne pourra être partielle et concernera nécessairement l'ensemble des termes de l'accord.

Elle produira effet à partir du jour qui suivra celui de son dépôt sur la plateforme en ligne « TéléAccords » ainsi qu’au greffe du conseil de prud’hommes compétent.

Révision de l’accord

Chaque partie signataire pourra demander la révision de tout ou partie du présent accord, selon les modalités suivantes :

Toute demande de révision devra être adressée par lettre recommandée avec accusé de réception à chacune des parties signataires ou adhérentes et comporter outre l’indication des dispositions dont la révision est demandée, des propositions de remplacement.

Toute révision du présent accord devra faire l’objet d’une négociation entre les parties signataires et donner lieu à l’établissement d’un avenant dans les conditions prévues par la législation en vigueur.

Information et publicité de l’accord

Le présent accord sera déposé dans les huit jours suivant la date de notification à l’ensemble des organisations syndicales représentatives, par la Direction, par voie électronique sur la plateforme en ligne « TéléAccords » en vue de sa transmission à la DIRECCTE, ainsi qu’un exemplaire au Secrétariat-Greffe du Conseil des Prud’hommes du lieu de conclusion de l’accord.

A ce dépôt sera jointe une version de l’accord ne comportant pas les noms et prénoms des négociateurs et des signataires, conformément aux dispositions de l’article L. 2231-5-1 et de l’article 2 du décret n° 2017-752 du 3 mai 2017 relatif à la publicité des accords collectifs, afin qu’elle soit versée dans la base de données nationale.

Il sera affiché au sein de la Société sur les panneaux de la Direction prévus à cet effet. Un exemplaire sera tenu à disposition au service des Ressources Humaines.

Fait à Marseille en 5 exemplaires, le 29/08/2023

Pour la Direction

Pour la CGT

Pour la CFE-CGC

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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