Accord d'entreprise "Accord de fonctionnement du Comité Social et économique CPS" chez CPS - CONTROLE PREVENTION SURETE (Siège)

Cet accord signé entre la direction de CPS - CONTROLE PREVENTION SURETE et le syndicat Autre et CFE-CGC et CGT le 2019-01-04 est le résultat de la négociation sur l'exercice du droits syndical, les instances représentatives du personnel et l'expression des salariés.

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat Autre et CFE-CGC et CGT

Numero : T09119001776
Date de signature : 2019-01-04
Nature : Accord
Raison sociale : CONTROLE PREVENTION SURETE
Etablissement : 81449042100033 Siège

Droit syndical : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur le thème Droit syndical, IRP, expression des salariés

Conditions du dispositif droit syndical pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2019-01-04

Accord de fonctionnement du comité social et économique CPS

Accord de fonctionnement du comité social et économique CPS 1

Article 1. Le fonctionnement et les moyens des membres du Comité social et économique 4

1.1. Nombre de titulaires et de suppléants 4

1.2. Durée de mandat 4

1.3. Nombre de mandats successifs 4

1.4. Périodicité des réunions 4

1.5. Crédit d’heures 5

1.6. Formation des élus titulaires et suppléants 5

1.7. Autres moyens 6

Article 2. Organisation des réunions du CSE 6

2.1. Ordre du jour, convocations, procès-verbal 6

2.2. Déroulement des réunions du CSE 6

2.3. Participants aux réunions du CSE 7

2.4. Rôle des membres suppléants 7

Article 3. Accompagnement des représentants du personnel et parcours syndicaux 8

3.1. L’entretien de début de mandat 8

3.2. L’entretien annuel 9

3.3. L’évolution salariale 9

3.4. L’entretien de fin de mandat 9

Article 4. Dispositions générales 10

4.1. Entrée en vigueur et durée de l’accord 10

4.2. Révision de l’accord 10

4.3. Adhésion à l’accord 10

4.4. Interprétation de l’accord 10

4.5. Dénonciation de l’accord 11

Article 5. Dépôt légal et publicité de l’accord 11

Article 6. Signature de l’accord 11

Entre :

La société CONTROLE PREVENTION SURETE, dont le Siège est situé ZA de Courtaboeuf – Immeuble Ontario – 3 avenue du Québec – 91140 VILLEBON SUR YVETTE, représentée par , en sa qualité de Président,

D’une part

Et

Les Organisations syndicales représentatives au niveau de CPS,

  • La CFE-CGC, représentée par , Délégué Syndical

  • La CGT, représentée par , Délégué Syndical

  • La CNSF FNCR, représentée par , Délégué Syndical

D’autre part

L’ordonnance n°2017-1386 du 22 septembre 2017 relative à la nouvelle organisation du dialogue social et économique dans l’entreprise a modifié le paysage juridique des instances représentatives du personnel dans l’entreprise.

Désormais une instance unique dénommée Comité Economique et Social (CSE) se substitue aux institutions représentatives (comité d’entreprise, délégués du personnel, CHSCT).

La Présidence employeur de CPS et les organisations syndicales représentatives au niveau de la Société ont convenu des dispositions suivantes.

  1. Le fonctionnement et les moyens des membres du Comité social et économique

    1. Nombre de titulaires et de suppléants

Le nombre de titulaires et de suppléants est strictement égal à celui prévu par l’article R. 2314-1 du Code du travail.

Pour la société CPS, le nombre de membres du CSE est de 2 titulaires et 1 suppléant.

En cas d’absence ou de départ d’un membre titulaire du CSE, son remplacement est assuré dans l’ordre suivant :

  • Par un suppléant élu présenté par la même liste et appartenant à la même catégorie professionnelle dans l’ordre d’apparition sur la liste des suppléants élus,

  • Par un suppléant élu présenté par la même liste et appartenant à une catégorie professionnelle différente dans l’ordre d’apparition sur la liste des suppléants élus,

  • Par un candidat non élu mais présenté par la même liste, prioritairement sur la liste des titulaires, à défaut sur la liste des suppléants,

  • En l’absence de candidat pouvant être présenté par la même organisation syndicale, le remplacement pourra être effectué par un candidat n’appartenant pas à la même organisation syndicale mais appartenant à la même catégorie professionnelle.

    1. Durée de mandat

Afin de s’approprier les sujets traités et de favoriser la stabilité du dialogue social et du fonctionnement des instances, la durée des mandats est de quatre ans pour l’ensemble des membres des CSE.

  1. Nombre de mandats successifs

Le nombre de mandats électifs successifs est limité à trois.

  1. Périodicité des réunions

Le Comité social et économique se réunit une fois par mois. Sauf circonstances particulières, les réunions du CSE sont organisées le dernier mercredi de chaque mois.

Chaque année, l’employeur ou le représentant désigné de l’employeur en charge du dialogue social confirme durant la première quinzaine de janvier le calendrier des réunions ordinaires du CSE. Le planning des réunions est publié par voie d’affichage, il est ainsi porté à la connaissance de l’ensemble des salariés.

  1. Crédit d’heures

Compte-tenu de la taille de l’effectif de la société CPS, les membres titulaires du CSE bénéficient d’un crédit de 10 heures par mois.

La possibilité est donnée aux titulaires du CSE de reporter une partie de leurs heures d’un mois sur l’autre. Les heures ainsi décalées ne peuvent en aucun cas conduire à bénéficier sur le mois suivant de plus de 1,5 fois le nombre d’heures auquel a droit un titulaire, soit 15 heures.

L’utilisation sur le mois M+1 des heures reportées fait l’objet d’une information auprès de l’employeur ou du représentant désigné de l’employeur au minimum 8 jours avant leur utilisation.

La possibilité est également donnée aux titulaires de répartir les heures auxquelles ils ont droit. Ceux-ci peuvent ainsi transférer aux titulaires ou aux suppléants une partie de leurs heures.

Les heures reportées ne peuvent en aucun cas conduire à bénéficier sur le mois suivant de plus de 1,5 fois le nombre d’heures auquel a droit un titulaire, soit 15 heures.

Le transfert des heures vers un titulaire ou un suppléant est à formaliser par un écrit à remettre contre signature à l’employeur ou au représentant désigné de l’employeur 8 jours avant le début du mois où il s’applique.

Les parties conviennent que les heures de délégation transférées sur des membres suppléants ne sauraient être utilisées les jours où se tient une réunion du CSE, sauf cas exceptionnel.

Afin d’éviter tout contentieux, les prises d’heures de délégation doivent être formalisées et tracées. Le simple fait de remplir un bon de délégation et de le mettre à disposition ne saurait être suffisant pour se déclarer ultérieurement en délégation.

Les parties conviennent que les salariés qui bénéficient d’heures de délégation à effectuer sur le temps de travail informent leur hiérarchie par la remise d’un bon de délégation (dûment rempli) au minimum 48 heures avant, sauf circonstances exceptionnelles et au plus tard au moment du démarrage du temps passé en délégation. Le cas échéant, la formalisation est réalisée par envoi d’un sms ou d’un mail.

Il appartient au salarié de s’assurer que ses prises de délégation ne contrarient pas la réglementation en terme de temps de travail, repos journalier… Dans le cas contraire, sa responsabilité pourrait être engagée.

  1. Formation des élus titulaires et suppléants

Les membres titulaires et suppléants du CSE élus bénéficient d’une formation initiale santé sécurité et conditions de travail d’une durée de 3 jours. Cette formation est organisée sur demande écrite des demandeurs qui la présentent à l’employeur ou au représentant désigné de l’employeur au minimum 30 jours avant le début du stage. Cette formation doit être réalisée en une seule fois.

  1. Autres moyens

CPS ayant des locaux de petite taille, ne permettant pas la mise à disposition d’un local spécifique au CSE, l’employeur ou le représentant désigné de l’employeur met à la disposition du CSE l’accès à sa salle de réunion comprenant table, chaises, ligne téléphonique, copieur, imprimante et PC… Cette salle est accessible pendant les heures d’ouverture des bureaux soit 9h à 13h et de 14h à 17h et devra être utilisée à des fins se rapprochant des missions des membres du CSE. Sont interdits les réunions à caractère politique ou strictement syndical, ainsi que toutes personnes étrangères à l’entreprise.

  1. Organisation des réunions du CSE

    1. Ordre du jour, convocations, procès-verbal

Les membres de la délégation du personnel du CSE remettent à l’employeur ou au représentant désigné de l’employeur en charge du dialogue social les réclamations au minimum 3 jours ouvrés avant les réunions.

Les réponses écrites à ces questions seront, dans les 6 jours ouvrés de la réunion, affichées dans les panneaux réservés à la Direction et inscrites sur le registre spécial.

Les parties conviennent que les convocations seront transmises par mail avec accusé de réception. Les titulaires et les suppléants élus doivent transmettre une adresse e-mail à l’employeur ou le représentant désigné de l’employeur. Ils s’engagent à adresser un accusé de réception lors de la réception de ces convocations. A défaut, l’employeur ou le représentant désigné de l’employeur en charge du dialogue social sera contrainte de revenir à des envois en recommandé avec accusé de réception.

  1. Déroulement des réunions du CSE

Le CSE se réunit une fois par mois.

Le temps passé en réunion est décompté comme du temps de travail.

Sauf à ce que des circonstances particulières le justifient, les réunions du CSE se dérouleront dans les locaux de l’entreprise au ZA de Courtaboeuf – Immeuble Ontario – 3 avenue du Québec – 91140 VILLEBON SUR YVETTE.

  1. Participants aux réunions du CSE

Participent de plein droit aux réunions du CSE :

  • L’employeur ou le réprésentant désigné de l’employeur en charge du dialogue social qui peut se faire assister de 1 collaborateur, celui-ci ne participe pas au vote,

  • Les membres titulaires du CSE.

Chaque organisation syndicale représentative ayant obtenu 30 % des voix et plus aux élections du Comité social et économique peut désigner un représentant supplémentaire choisi obligatoirement parmi les membres suppléants. Ce représentant siège de droit aux réunions du CSE. Il ne dispose pas d’une voix délibérative.

Pour des raisons de continuité et de formation, ce représentant ayant un statut d’invité sera désigné pour une durée minimale d’un an. Ce représentant a vocation à remplacer un titulaire absent au dernier moment dans la même organisation syndicale. En cas d’absence d’un membre titulaire et à défaut d’un représentant supplémentaire présent de la même liste, il est procédé à son remplacement dans l’ordre suivant :

  • Par un suppléant élu présenté par la même liste et appartenant à la même catégorie professionnelle dans l’ordre d’apparition sur la liste des suppléants élus,

  • Par un suppléant élu présenté par la même liste et appartenant à une catégorie professionnelle différente dans l’ordre d’apparition sur la liste des suppléants élus,

  • Par un candidat non élu mais présenté par la même liste, prioritairement sur la liste des titulaires, à défaut sur la liste des suppléants,

  • En l’absence de candidat pouvant être présenté par la même organisation syndicale, le remplacement pourra être effectué par un candidat n’appartenant pas à la même organisation syndicale mais appartenant à la même catégorie professionnelle.

    1. Rôle des membres suppléants

Conformément aux dispositions légales, seuls les membres titulaires du CSE assistent aux réunions plénières.

Afin d’associer au mieux les suppléants au CSE, de leurs permettre de jouer pleinement leurs rôles et d'anticiper le renouvellement des élus, les suppléants bénéficient des mêmes formations que les membres titulaires du CSE. Ils sont également destinataires des mêmes documents (convocations,…) que les titulaires.

  1. Accompagnement des représentants du personnel et parcours syndicaux 

La détermination du nouveau cadre au sein duquel s’exerce le dialogue social ne doit pas être déconnectée des problématiques liées à la prise en compte des parcours syndicaux et du renouvellement des élus.  Cette démarche doit être menée afin de répondre à un double objectif :

  • Accompagner les représentants du personnel dans la prise de leur mandat, en lien avec les nouvelles attributions. Les compétences et les carrières des responsables syndicaux sont gérées comme des filières professionnelles métier à part entière.

  • Accompagner les représentants du personnel dans leur repositionnement professionnel.

Le développement d’un dialogue social dynamique passe par une gestion des carrières et des parcours syndicaux attractive afin notamment d’assurer un renouvellement des acteurs. Tel est l’objectif des mesures suivantes.

Ainsi, tout salarié détenteur d’un mandat doit conserver un lien avec la personne en charge du dialogue social sur son périmètre et pouvoir échanger à tout moment. Ce faisant, il est important, au-delà de rencontres informelles, de prévoir des entretiens lors de moments importants au cours de la vie professionnelle du salarié. 

  1. L’entretien de début de mandat

Comme le prévoient les dispositions de l’article L. 2141-5 du Code du travail, tous les porteurs de mandats au sein de l’entreprise (titulaires, suppléants et les représentants syndicaux) bénéficient au début de leur mandat, sur la base du volontariat, d’un entretien individuel avec l’employeur ou le représentant désigné de l’employeur en charge du dialogue social sur leur périmètre.

Cette possibilité d’échanges s’adresse à tous les salariés quelle que soit la proportion de temps consacrée aux mandats.

Cet entretien a pour objet :

  • De rechercher, si besoin est, les modalités d’organisation du travail permettant la meilleure compatibilité entre l’activité professionnelle et l’exercice de la mission (ou des missions) de représentation ;

  • De permettre une adaptation du poste de travail qui ne réduise pas l’intérêt du travail, qui permet aussi le maintien des compétences et les possibilités d’évolution professionnelle ;

  • De fixer les objectifs attendus et de déterminer et adapter la charge de travail ;

  • D’informer le salarié du panel de comparaison sur lequel son évolution de carrière sera vérifiée ;

  • Cet entretien donne lieu à un document écrit, qui peut définir notamment l’aménagement éventuel de la charge de travail prenant en compte l’exercice du ou des mandats. Ce document est signé par les deux parties.

    1. L’entretien annuel

Tout salarié mandaté doit bénéficier comme l’ensemble des salariés du Groupe, d’un entretien professionnel conformément aux dispositions légales.

Durant l’entretien professionnel, un temps consacré à l’exercice du mandat peut être organisé avec l’accord préalable du salarié. Il aura pour objet :

  • D’évoquer la conciliation de la vie professionnelle et l’exercice de la mission de représentation du salarié ;

  • D’examiner les aspirations, contraintes éventuelles, souhaits de mobilité, orientations éventuelles à envisager et besoin de développement des compétences. Par ailleurs, en fonction des compétences reconnues et/ou des appétences, la Direction des RH s’engagera à accompagner ces représentants dans leur démarche d’évolution professionnelle en leur proposant le cas échéant un bilan de compétences qui pourra conduire à une formation en relation avec un nouveau projet professionnel.

    1. L’évolution salariale

Les salariés élus ou mandatés bénéficient d’une évolution de salaire comparable à celle des autres salariés de l’entreprise, ayant des fonctions professionnelles similaires, en prenant en compte la carrière qu’ils avaient au moment de la prise de mandat.

Elle est déterminée, comme pour tout autre salarié, en fonction des caractéristiques de l’emploi, de la nature des tâches accomplies et des aptitudes professionnelles de l’intéressé. Le temps consacré à l’exercice des mandats et de représentation du personnel ne doit pas pénaliser le salarié dans l’évolution de sa rémunération et dans son déroulement de carrière.

  1. L’entretien de fin de mandat

Les parties conviennent de mettre en œuvre un dispositif permettant de faciliter le retour des salariés titulaires d’un mandat syndical ou d’élu du personnel à un poste à temps plein, pouvant prendre en compte l’apport de d’expériences et de compétences liées au(x) mandat(s) exercé(s). Ce dispositif se compose :

  • D’un entretien individuel permettant d’effectuer un bilan sur les acquis en matière de compétences et d’expériences liées au(x) mandat(s), ainsi que les acquis professionnels. Lors de cet entretien les modalités de retour à un poste « temps plein » seront évoquées.

  • D’une formation de 5 jours, adaptée à la spécificité de leur profil, si nécessaire, et à leur demande, de nature à faciliter leur évolution professionnelle. En cas de nécessité de formation plus lourde, l’employeur ou le représentant désigné de l’employeur s’engage à faciliter l’accès de ses salariés aux dispositifs légaux de formation.

Les salariés titulaires d’un mandat syndical et/ou les élus du personnel peuvent, s’ils le souhaitent et si la démarche sert l’intérêt conjoint de leur carrière et de celui de l’entreprise, bénéficier d’un bilan de compétence, d’une démarche de VAE (validation des acquis de l’expérience) d’un contrat de développement de compétences ou d’une formation diplômante.

  1. Dispositions générales

    1. Entrée en vigueur et durée de l’accord

Le présent accord cadre entrera en vigueur au lendemain des formalités de dépôt.

Il est conclu pour une durée déterminée de 4 ans.

  1. Révision de l’accord

La révision du présent accord cadre sera subordonnée à une négociation menée après convocation par l’employeur ou son représentant désigné de toutes les organisations syndicales représentatives au regard du cycle électoral en cours.

Elle pourra être engagée à l’initiative de l’une quelconque des Parties signataires ou adhérentes du présent accord, sur demande motivée adressée à tous les signataires ou adhérents au présent accord. La demande de révision devra comporter l’indication des dispositions dont la révision est demandée et les propositions de remplacement. Les dispositions de l’accord dont la révision est demandée resteront en vigueur jusqu’à conclusion d’un nouvel accord.

  1. Adhésion à l’accord

Conformément à l’article L. 2261-3 du Code du travail, toute organisation syndicale de salariés représentative dans les entreprises couvertes par le champ de l’accord pourra y adhérer après sa signature. L’adhésion produit ses effets à partir du jour qui suivra celle de son dépôt auprès de la Direccte et du greffe du conseil de prud’hommes compétents. L’adhésion devra être notifiée, dans le délai de huit jours, par lettre recommandée, aux Parties signataires du présent accord cadre.

  1. Interprétation de l’accord

Les représentants de chacune des Parties signataires et adhérentes conviennent de se rencontrer à la requête de la partie la plus diligente, dans les 15 jours suivant la demande d’interprétation de l’accord cadre, pour étudier et tenter de régler tout différend né de l’application du présent accord cadre. Jusqu’à l’expiration de la négociation d’interprétation, les Parties contractantes s’engagent à ne susciter aucune forme d’action contentieuse liée au différend faisant l’objet de cette procédure.

  1. Dénonciation de l’accord

Le présent accord pourra être dénoncé par les parties signataires dans les conditions prévues à l’article L. 2261-9 du Code du travail.

  1. Dépôt légal et publicité de l’accord

Le présent accord sera, conformément aux dispositions des articles L.2231-6 et D.2231-2 du Code du travail, établi en un nombre suffisant d’exemplaires pour remise à chacune des Parties contractantes et pour dépôt auprès de la DIRECCTE et du secrétariat du Conseil de Prud’hommes compétents.

Un exemplaire sera également remis à chaque Organisation Syndicale Représentative non signataire.

Cet envoi sera complété de l’envoi d’un exemplaire sur support électronique.

  1. Signature de l’accord

Fait à Villebon sur Yvette, le 04/01/2019 (en 6 exemplaires comprenant 11 pages)

Pour l’Entreprise : (signature et cachet de l’Entreprise)

Représentée par

En sa qualité de Président

Pour les organisations syndicales signataires représentée(s) par Signature(s)

Monsieur

Pour le syndicat CFE-CGC

Monsieur

Pour le syndicat CGT

Monsieur

Pour le syndicat CNSF FNCR

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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