Accord d'entreprise "UN ACCORD RELATIF A LA NEGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE" chez SEM PFI - POMPES FUNEBRES INTERCOMMUNALES DE LA REGION GRENOBLOISE (Siège)

Cet accord signé entre la direction de SEM PFI - POMPES FUNEBRES INTERCOMMUNALES DE LA REGION GRENOBLOISE et le syndicat CFDT et CGT-FO et SOLIDAIRES le 2021-12-16 est le résultat de la négociation sur le droit à la déconnexion et les outils numériques, l'égalité salariale hommes femmes, l'aménagement du temps travail, la modulation du temps de travail ou l'annualisation du temps de travail, la qualité de vie au travail et l'équilibre pro perso, les augmentations de salaire (ou diminuton / gel des salaires).

Périmètre d'application de la convention signée entre l'entreprise et le syndicat CFDT et CGT-FO et SOLIDAIRES

Numero : T03821009049
Date de signature : 2021-12-16
Nature : Accord
Raison sociale : PFI DE LA REGION GRENOBLOISE
Etablissement : 34820554300021 Siège

Salaire : les points clés de la négociation

La négociation s'est portée sur les thèmes suivants

Conditions du dispositif salaire pour les salariés : le texte complet de l'accord du 2021-12-16

ACCORD D’ENTREPRISE

DANS LE CADRE DE LA NEGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE

ENTRE LES SOUSSIGNÉS

LA SOCIETE ANONYME D’ECONOMIE MIXTE POMPES FUNEBRES INTERCOMMUNALES DE LA REGION GRENOBLOISE - SEM PFI

au capital de 5 000 000 Euros

dont le siège social est à La Tronche 38700 – Avenue du Grand Sablon

immatriculée au Registre de Commerce et des Sociétés de Grenoble sous le numéro 348 205 543

Représentée par Monsieur XX, agissant en qualité de Directeur Général

ET

  • Le Syndicat CFDT PFI - POMPES FUNEBRES INTERCOMMUNALES DE LA REGION GRENOBLOISE

dont le siège social est à La Tronche 38700 - Avenue du Grand Sablon

Représenté par Monsieur XX, agissant en qualité de Délégué Syndical

  • Le Syndicat SUD PFI - POMPES FUNEBRES INTERCOMMUNALES DE LA REGION GRENOBLOISE

dont le siège social est à La Tronche 38700 - Avenue du Grand Sablon

Représenté par Monsieur XX, agissant en qualité de Délégué Syndical

  • Le Syndicat FO PFI - POMPES FUNEBRES INTERCOMMUNALES DE LA REGION GRENOBLOISE

dont le siège social est à La Tronche 38700 - Avenue du Grand Sablon

Représenté par Monsieur XX, agissant en qualité de Délégué Syndical

P R É A M B U L E

La SEM PFI, représentée par Monsieur XXXXXXXX XXXXXXXX en sa qualité de Directeur Général, et Monsieur XXXXXXXXXXXXXXXXX, Délégué Syndical CFDT PFI, Monsieur XXXXXXXXXXXXXXXXX, Délégué Syndical SUD PFI, et Monsieur XXXXXXXXXXXXXXXXX, Délégué Syndical FO PFI ont, conformément aux articles L.2242-1 et suivants du Code du Travail, engagé la négociation annuelle obligatoire.

La négociation s’est déroulée lors des réunions des 9, 16 et 23 novembre 2021.

Conformément à l’article L.2242-5 du Code du travail, cette négociation a porté sur les thèmes suivants : « RÉMUNÉRATION, LE TEMPS DE TRAVAIL ET LE PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTÉE »

  • Les salaires effectifs, la durée et l’organisation du travail, notamment la mise en place du travail à temps partiel.

  • Le suivi de la mise en œuvre des mesures visant à supprimer les écarts de rémunération et les différences de déroulement de carrière entre les femmes et les hommes,

  • L’intéressement, la participation et l’épargne salariale, et à défaut d’accord d’intéressement, ou d’accord de participation, de plan d’épargne d’entreprise, de Perco ou d’accord de branche comportant un ou plusieurs de ces dispositifs.

Conformément à l’article L.2242-8 du Code du travail, cette négociation a porté sur les thèmes suivants : « ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE ET LA QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL » 

  • Les objectifs et les mesures permettant d’atteindre l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes,

  • Les conditions du maintien du calcul des cotisations d’assurance vieillesse sur le salaire à temps plein pour les salariés à temps partiel,

  • L’articulation entre la vie personnelle et la vie professionnelle pour les salariés,

  • Les mesures permettant de lutter contre toute discrimination en matière de recrutement, d’emploi et d’accès à la formation professionnelle,

  • Les mesures relatives à l’insertion professionnelle et au maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés.

  • L’exercice du droit d’expression directe et collective des salariés,

  • Les modalités de définition d'un régime de prévoyance et, sur la base des garanties minimales devant être mises en place par l’employeur d’ici au 1er janvier 2016,

Il est rappelé que la SEM PFI est couverte par les accords et documents suivants :

  • Un accord de branche concernant la durée effective du temps de travail,

  • Un accord de branche concernant la prévoyance-santé, et qu’elle est, en vertu des dispositions légales entrant en vigueur au 1er janvier 2016, couverte par un régime de remboursement de complémentaire santé obligatoire pour ses salariés

  • Un accord d’entreprise sur l’intéressement et la participation,

  • Une délibération unilatérale de l’employeur concernant un régime de remboursement de complémentaire santé obligatoire pour ses salariés

  • Une décision unilatérale de l’employeur concernant un régime de prévoyance incapacité invalidité décès

  • Une délibération unilatérale de l’employeur concernant un régime de retraite supplémentaire de type article 83 du CGI.

  • Un accord égalité hommes/femmes du 1er janvier 2018.

  • Un accord pour les seniors du 16 mai 2018

  • Un accord Compte Epargne Temps

  • Un accord Plan Epargne Entreprise

  • Un accord relatif à l’aménagement du temps de travail de juin 2016

  • Diagnostic des études comparatives hommes/femmes effectuées dans le cadre des bilans annuels, et de la BDES

  • Un accord sur les mobilités (indemnité vélo)

Au cours de ces réunions les parties se sont mises d'accord sur tous les thèmes négociés. Cet accord est formalisé par le présent accord d'entreprise.

ARTICLE 1 – CHAMP D’APPLICATION

Le présent accord concerne l’ensemble des salariés de la SEM PFI.

ARTICLE 2 – NEGOCIATIONS SUR LE THEME 1 – REMUNERATION – TEMPS DE TRAVAIL – PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTE

ARTICLE 2.1 – LES SALAIRES EFFECTIFS

2.1.1. Augmentation générale des salaires :

La demande initiale, formulée par les trois Délégués Syndicaux est une demande d’augmentation comprise entre 1.2% et 2.2% d’augmentation générale des salaires.

La demande formulée par le syndicat FO est une demande de répartition de l’enveloppe de masse salariale : Il est demandé par FO que l’augmentation soit répartie non pas par pourcentage de salaire, mais par un montant fixe pour tous les salariés (enveloppe répartie de manière équitable avec un montant en euros par salariés).

À la suite des diverses évolutions sociales déjà engagées, il a été convenu par les parties une augmentation générale des salaires applicable à toutes les catégories professionnelles.

Cette augmentation correspond à un taux de 1.2 % applicable sur les salaires fixes de base à compter du 1er janvier 2021. Cette augmentation représente un cout de presque 62 000€ pour l’entreprise.

Accédant à la demande du syndicat FO, cette enveloppe sera non pas répartie à hauteur de 1.2% pour tous les salaires, mais répartie de façon uniforme, identique et unitaire entre tous les salariés avec une valeur en euros.

Ce type d’augmentation aboutira à favoriser les plus bas salaires et à resserrer les écarts de la grille salariale, puisque l’augmentation forfaitaire représentera pour cette catégorie de salariés une proportion d’augmentation plus importante que celle affectant les salariés dotés de plus fortes rémunérations.  

Cette augmentation n’est valable que pour l’année 2022.

2.1.2. Les accessoires de salaires :

A la suite des diverses demandes syndicales :

  • Il n’est pas attribué de prime de réquisition.

  • Le montant des primes d’astreintes et permanences ne sera pas augmenté.

  • Le CFDT a demandé qu’une prime MACRON soient versée en fin d’année à tous. La Direction ne prend pas d’engagement sur ce sujet.

  • Il ne sera pas accordé au syndicat SUD la création d’une prime d’ancienneté pour les 10 ans d’ancienneté d’un salarié qui n’aurait pas eu de promotion de service.

  • Il ne sera pas créé de prime d’adaptabilité pour les salariés dont les horaires varient.

ARTICLE 2.2 – DUREE ET ORGANISATION DU TRAVAIL

Le Centre Funéraire est ouvert entre 12h et 14h du lundi au vendredi.

Les RTT ont été mises en place depuis le 1er juillet 2017. Cela concerne la catégorie « cadre » des salariés. Pas de changement demandé par les organisations syndicales.

Les salariés sont quant à eux sur un rythme de 35 heures, avec paiement des heures supplémentaires et mise en place de repos compensateur sur certains cycles.

Les salariés de l’Accueil et de la Chambre funéraire travaillent quant à eux sur 4 jours pour effectuer leurs 35 heures.

Le syndicat CFDT demande que le nombre de conseillers soit augmenté afin de permettre une meilleure fluidité des plannings et des roulements.

De façon générale, Les syndicats et la Direction sont d’accord pour améliorer les conditions de travail aux PFI, et notamment réduire les inégalités salariales marquées entre les services. A ce sujet, des recrutements sont en cours dans différents services, et une réflexion sur les primes et leurs répartitions sera menée fin 2021/début 2022 avec les représentants du personnel et les salariés.

ARTICLE 3 – NEGOCIATIONS SUR LE THEME 2 – EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LE FEMMES – QUALITE DE VIE AU TRAVAIL

ARTICLE 3.1 - EGALITE PROFESSIONNELLE

En application des dispositions légales, il a été procédé au cours de réunions précitées, à un diagnostic de l’accès à l’emploi, à la formation, la promotion professionnelle et sur les écarts de rémunérations entre les hommes et les femmes.

Ce diagnostic a été établi à partir des études comparatives effectuées dans le cadre des bilans annuels, ainsi que de la BDES de l’exercice 2020.

Les parties reconnaissent les efforts effectués par la SEM PFI dans sa volonté de féminiser son personnel.

Les parties conviennent de maintenir cette politique dans l’entreprise

La SEM-PFI rappelle également que conformément à l’article L1132-1 du code du travail, aucune discrimination, telle que définie à l'article 1er de la loi n° 2008-496 du 27 mai 2008 n’est exercée, que ce soit à l’embauche, à l’accès à la formation professionnelle, au développement de carrière ou augmentation salariales.

Pas de changement demandé par les organisations syndicales.

ARTICLE 3.2 – EXERCICE DU DROIT D’EXPRESSION DES SALARIES

La SEM PFI respectant les dispositions légales faisant référence à l’Article L.2281 du code du travail, sur les modalités d’exercice du droit d’expression des salariés, ce point a été discuté mais ne donne pas lieu à de nouveaux engagements.

ARTICLE 3.3 – ARTICULATION ENTRE LA VIE PRIVEE ET LA VIE PROFESSIONNELLE

3.3.1. Aide psychologique pour tous les salariés de la SEM PFI

Confrontés de manière quotidienne aux problématiques de la mort, la SEM PFI a engagé des mesures auprès d’un sociologue et d’une psychologue afin d’apporter un appui à son personnel. Le but est de permettre aux salariés de parler librement de leur vie au travail à une personne externe à l’entreprise.

Cette cellule psychologique a été mise en place sur l’année 2017.

Par cet accord, la SEM PFI souhaite confirmer son engagement à maintenir cette cellule psychologique sur l’année 2022.

Trois dispositifs d’aide aux salariés sont déjà en place, sur la base du volontariat, et en respectant la confidentialité des échanges :

  • Un dispositif d’écoute téléphonique avec une psychologue

  • Des rendez-vous individuels avec une psychologue

  • Des rendez-vous collectifs avec une psychologue et entre salariés de la SEM PFI (analyse de la pratique)

3.3.3. Etude sur les risques psycho-sociaux

Le compte rendu de l’étude sur les risques psychosociaux a été effectué en décembre 2019. Des actions ont par la suite été mises en place (suivis individuels de salariés, charte de bonne conduite, formations etc.) mais certains ont été retardés par les mesures de confinement et de distanciation sociale mises en place. Des actions suivies ont été mises en place en 2021 (formations de responsables à la communication par exemple).

3.3.4. Prime de naissance :

Une prime de naissance a été mise en place depuis 2020. Elle représente 100€ par naissance.

3.3.5. Droit à la déconnexion professionnelle

La Direction rappelle que les salariés ne sont pas tenus de répondre aux emails reçus en dehors de leurs horaires de travail.

Une charte du droit à la déconnexion est en place depuis le 11 septembre 2017.

La Direction réfléchit pour d’éventuelles actions de formation et de sensibilisation à un usage raisonnable des outils numériques, à destination des salariés et du personnel d’encadrement et de direction. Ces outils numériques sont toutefois à ce jour très peu diffusés parmi l’effectif de la Société, et aucune pratique abusive particulière n’a été portée à sa connaissance.

La SEM PFI étant encore au stade de la réflexion sur ce sujet, ce point ne donne pas lieu à des engagements particuliers.

3.3.6. Tickets restaurant :

Les syndicats ayant fait la demande d’une augmentation des tickets restaurant, la Direction accepte que la valeur des tickets restaurants passe de 5.50€ actuellement par jour travaillé à 6.00 € par jour entier travaillé à compter du 1er janvier 2022, avec une participation employeur et employé à hauteur de 50% chacun.

3.3.6. Indemnité vélo :

Il est ici rappelé que la société a mis en place en janvier 2020 une DUE sur l’indemnité kilométrique vélo et le forfait mobilité. L’indemnité kilométrique vélo est de 0.25 centimes par km parcouru à vélo, vélo électrique, trottinette ou trottinette électrique.

ARTICLE 3.4 – INSERTION PROFESSIONNELLE ET MAINTIEN DANS L’EMPLOI DES TRAVAILLEURS HANDICAPES

Les parties conviennent que les efforts faits par la direction de la SEM PFI pour l’emploi des travailleurs handicapés doivent être poursuivis :

La SEM PFI emploie actuellement 5 travailleurs handicapés :

  • 4 en CDI, au service Exploitation

  • 1 en CDI, au service Accueil - Conseiller

La SEM PFI entend continuer ses efforts en termes de recrutement de travailleurs handicapés et à faire appel à des entreprises de sous-traitance employant des personnes handicapées.

ARTICLE 3.5 – TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ET COTISATIONS VIEILLESSE

Au 30 novembre 2021, la SEM PFI compte 85 salariés en CDI, et relève un effectif à temps partiel de 1 salarié, et 1 salarié à temps partiel thérapeutique.

Les parties rappellent que le maintien des cotisations d'assurance vieillesse sur les bases d’un temps plein peut être proposé aux salariés à temps partiel dans les conditions prévues aux articles R.241-0-1, 1° du CSS et L.3123-1 du Code du travail).

Le maintien d'assiette nécessite un accord écrit, daté et signé par l'employeur et le salarié. Il doit figurer dans le contrat ou un avenant (c. séc. soc. art. R. 241-0-3). Cet accord peut être dénoncé par le salarié ou l'employeur, à tout moment, sauf pour l'employeur qui doit toutefois attendre une durée d’application d’un (1) an au moins à compter de sa date d'effet.

La SEM PFI ayant reçu une demande de passage à temps partiel, ce point a été mis en place dès le mois de mai 2017, mais ne donne pas lieu à des engagements particuliers supplémentaires.

ARTICLE 4 – DUREE DE L’ACCORD

DENONCIATION / REVISION

4.1 – Durée de l’accord

Sous réserve des dispositions prévues à l’article 2.1 du présent accord, celui-ci est conclu pour une durée indéterminée.

Il est néanmoins rappelé que conformément aux dispositions des articles L.2242-1 et suivants du Code du travail, les parties se rencontreront à nouveau avant l’expiration du délai d’un an suivant la négociation ayant abouti au présent accord.

4.2 – Dénonciation

Le présent accord pourra être dénoncé selon les modalités de droit commun. Un délai de préavis de trois mois devra être respecté, commençant à courir à compter de la date de réception de la lettre recommandée avec accusé de réception de dénonciation et ce, sans préjudice des dispositions légales.

4.3 – Révision

Chaque partie signataire du présent accord peut demander la révision de tout ou partie du présent accord, selon les modalités définies ci-après.

Toute demande de révision devra être adressée par lettre recommandée avec avis de réception aux autres parties signataires et comporter en outre, l’indication des dispositions dont la révision est demandée.

Le plus rapidement possible et au plus tard dans un délai d’un (1) mois suivant la notification de la demande de révision répondant aux conditions indiquées ci-dessus, les parties engageront une nouvelle négociation.

L’avenant portant révision du présent accord fera l’objet d’un dépôt légal dans les formes indiquées à l’article 5.

Les dispositions de l’avenant portant révision se substitueront de plein droit à celle du présent accord qu’elles modifieront et seront opposables aux signataires du présent accord, ainsi qu’aux bénéficiaires de cet accord, soit à la date qui aura été expressément convenue dans l’avenant, soit, à défaut, à partir du jour qui suivra son dépôt légal.

Il est entendu que les dispositions du présent accord demeureront en vigueur jusqu’à l’entrée en vigueur de nouvelles dispositions et seront maintenues dans l’hypothèse où les négociations d’un nouveau texte n’aboutiraient pas.

4.4- Consultation des représentants du personnel

Le CSE a été consulté sur le présent accord lors de la réunion du 16 décembre 2021.

ARTICLE 5 – DEPOT ET PUBLICITE

Le présent accord fera l'objet des formalités de dépôt et de publicité prévues par le Code du travail. Il sera déposé au Secrétariat-greffe du Conseil de Prud’hommes de GRENOBLE.

Une version sur support électronique est également communiquée à la RHONE-ALPES AUVERGNE, UT du GRENOBLE.

Le présent accord sera notifié à l’ensemble des organisations syndicales représentatives dans l’entreprise et non signataires de celui-ci.

Un avis indiquant l'intitulé et l'existence du présent accord sera affiché dans les locaux de la Société sur les panneaux réservés à cet effet, à la suite du dépôt du présent accord. Cet avis précisera également les conditions dans lesquelles le présent accord pourra être consulté.

Une copie du présent accord est remise aux membres du CSE. Une copie du présent accord est également mise à la disposition des salariés auprès de la Direction des Ressources Humaines.

Fait à la Tronche, le 16 décembre 2021 en trois exemplaires originaux.

L’Organisation Syndicale FO

XXXXXXXXXXXXXXXXX

La Société

XXXXXXXX XXXXXXXX

L’Organisation Syndicale CDFT

XXXXXXXXXXXXXXXXX

L’Organisation Syndicale SUD

XXXXXXXXXXXXXXXXX

Source : DILA https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/acco-accords-dentreprise/

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